1. Visite d'une ex...


    Datte: 11/09/2019, Catégories: Mature, Première fois

    ... ciel et commençaient à recouvrir le jardin d’un fin manteau blanc. J’adore par-dessus tout me sentir douillette en hiver, à l’abri du froid. Je passais donc la matinée à me détendre avant de commencer le nettoyage.J’avais essuyé la poussière sur les meubles, fais un brin de repassage, changé les draps et mit une machine en marche. Il ne me restait plus que la vaisselle de la veille à faire. Je m’installais donc à l’évier et contemplais un petit moment la beauté du paysage par la fenêtre. La neige avait pratiquement recouvert toute ma voiture et l’entrée de notre propriété. Au bout de quelques instants j'ai décidé de me mettre à la corvée et j'ai retroussé mes manches et plongé mes mains au milieu des assiettes. Malgré sa forme très moulante et serrée, mon pantalon de yoga tombait toujours un peu et je le remontais, les mains un peu mouillées, au-dessus de mon string. Je finissais de laver les assiettes et constatait que plein de restes, présents dans les plats, se retrouvaient au fond de l’évier. Pour ne pas continuellement boucher les canalisations, nous avions fait installer un broyeur avec mon mari. Je le mis donc en marche et rapprochais les restes de l’orifice. Soudain, à cause des multiples mouvements et de sa taille inappropriée, la manche de mon pull retomba de mon coude et se prit dans le broyeur. L’effet de surprise me fit faire un bon et j’arrêtais immédiatement le broyeur. Mes doigts étaient indemnes mais mon cœur, lui, avait bien failli s’arrêter. Je m’apprêtais ...
    ... donc à me retirer mais la manche de mon pull, prise dans le petit trou et dans les lames, m’en empêcha. Instinctivement je me mis à tirer sur la manche pour essayer d’arracher le tissu, mais sans succès : il était trop large et trop emmêlé. Je retirais tant bien que mal mon pull et essayais d’ôter ma main de la manche mais là encore, ma tentative se solda par un échec. Je n’avais pas mal à la main mais celle-ci était bloquée à l’intérieur. Je jetais un coup d’œil alentours pour trouver une solution mais je n’en trouve aucune.Pendant plus d’une heure j’essayais par tous les moyens de me défaire... mais sans aucun résultat. Je commençais à paniquer ! J’espérais que je ne devrais pas attendre le retour de mon mari pour me libérer ! Je devais lancer un appel à l’aide. Connaissant bien le voisinage, quelqu’un m’entendrait bien et viendrait m’aider. J’ouvris donc la fenêtre avec ma main libre et commençais mes appels de détresse. Au bout d’une demi-heure je vis Jean, ton mari, et à l'époque, l’ami de mon fils, passer la tête par-dessus le portail.Dieu soit loué, lui dis-je avec un immense sourire, tu peux venir m’aider Jean ? Je suis bloquée par le broyeur !Oui bien sûr madame, me répondit-il.Avant cette histoire, je n’avais jamais trop prêté attention à lui, même s'il était plutôt bien fait. Il avait 16 ans et je l’avais toujours considéré comme un bon camarade pour Tom. Je pense qu'il le savait. Mes amies le disaient gentil et serviable... j'allais bien voir. En tout cas, c’était ...
«1234...9»