1. Visite d'une ex...


    Datte: 11/09/2019, Catégories: Mature, Première fois

    ... le seul à pouvoir me délivrer !J’entendis la porte s’ouvrir et les pas se rapprocher derrière moi. J’étais complètement épuisée et affalée sur le rebord de l’évier. Je laissais reposer mon dos, endoloris par la position, et me cambrais naturellement sans faire attention aux idées que ma nouvelle position pourrait donner à mon sauveur et sans penser qu’un pantalon de yoga blanc et étiré pourrait laisser apparaître mon petit sous-vêtement. Ces idées secondaires étaient bien loin de moi car mon objectif principal était de me délivrer de ce broyeur !- Bonjour Jean, dis-je au jeune homme qui venait de faire irruption dans la cuisine.- Bonjour madame. Alors comme ça, vous vous êtes coincée dans l’évier ?- Oui, je me suis retrouvée prise au piège par inadvertance. Impossible de m’en défaire. Tu voudrais bien me donner un coup de main ?- Oui bien évidement.Je sentais son regard descendre sur ma chute de rein mais je n’y fis pas plus attention que ça. Je lui proposais de me tirer, ainsi, peut-être, la manche se déchirerait-elle. Jean acquiesça et vint se mettre derrière moi. Je sentis un objet dur se serrer contre mes fesses, mais je me refusais à penser que c’était son sexe. J'avais oublié qu'à cet âge, un rien mettait les jeunes hommes dans tout leur état... Je commençais à rougir et la situation devenait inconfortable. Il fallait que je me libère au plus vite. Je sentis les mains viriles de Jean se poser sur mes hanches pour les étreindre. Je lui donnais le signal et tirais de ...
    ... toutes mes forces sur cette satanée manche. Je faisais des allers retours saccadés et à chaque fois que Jean me tirait vers lui, je sentais son sexe s’écraser sur mon fessier. Ça avait quelque chose d’excitant mais c’était surtout gênant de le sentir aussi en forme.Ses mains glissèrent de mes hanches à mon débardeur qu’il agrippa de toutes ses forces et tira vers lui. A chaque aller-retour mon petit haut laissait de plus en plus échapper ma poitrine si bien qu’il ne fallut que peu de temps pour que celle-ci apparaisse au grand jour. Nous nous arrêtâmes immédiatement. Jean avait l’air gêné mais je pense qu'il profita allègrement de cette vue sur mes seins de bonne taille et sur mes tétons quelque peu excités. Le temps que ma main libre retire mon débardeur vers le haut, Jean avait déjà bien pu s’imprégner de ces images. J’espérais néanmoins que cela ne lui donnerait pas des envies et que surtout il n’irait pas le chanter sur tous les toits !Jean restait derrière moi tandis que je reprenais mes esprits. Je me sentais vulnérable, complètement à sa merci et il fallait que je trouve un moyen de m’en sortir. Une idée me vint à l’esprit. Pourquoi ne pas utiliser un lubrifiant ? Je demandais à Jean, qui ne quittait plus mes courbes du regard, d’aller chercher un tube de gel pour les mains dans la salle de bain. Après un moment de latence, celui-ci s’exécuta puis revint avec le flacon.- Mets-en sur ma main et la manche, lui dis-je.Jean s’avança et appuya comme un sauvage sur le tube. Une ...
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