1. Un voyage


    Datte: 12/09/2019, Catégories: hplusag, grosseins, groscul, Collègues / Travail pénétratio, fantastiqu, aventure,

    ... nouveau, et fit glisser le pantalon du forgeron, massant son gland quand ses doigts se posèrent dessus. La large queue, déjà humide et prête à attaquer, frappa contre la chatte de Delilah, la frottant avant d’y entrer. Delilah chevaucha contre le torse du forgeron, prenant appui de ses mains sur les épaules de l’homme, et lorsqu’elle fut certaine qu’elle était juste au-dessus du pieu de chair, elle se laissa tomber, s’empalant. — HOU ! Le cri fut bref mais puissant. Lacker grogna, ses muscles se tendant comme pour un combat. Il attendit quelques secondes, profitant de la chaleur de ce sexe étroit autour du sien, puis commença à bouger, tenant Delilah par le dos et les fesses. Doucement, le bassin de la maîtresse de guerre ondula en rythme avec celui du forgeron, Delilah sautillant à chaque assaut de queue en elle. Elle tira la tête de l’homme en arrière pour l’embrasser avec passion, laissant sa salive couler sur son menton. Ses fesses et son sexe dansaient en rythme, faisant de la pénétration une expérience divine pour Lacker. D’une main, il commença à jouer avec les seins de sa partenaire, les massant, les tirant, les frappant, les poussant… — Oh oui, bébé ! hurla Delilah, la tête levée, ses yeux grands ouverts. Elle jouit, et une flaque claire coula sur les jambes de Lacker, jusqu’au sol, tandis que l’homme la poignardait plus fort de sa bite gonflée de désir. — Ferme-la, salope, grogna-t-il. J’en n’ai pas fini… Il la porta à travers la pièce, et la poussa violemment ...
    ... en arrière sur une grande table de bois. L’arrière de son crâne cogna la surface avec douleur, et elle laissa échapper un grognement. Dans cette position, ses seins se dressaient dans les airs comme deux montagnes de chair bronzée et chaude. Lacker pinça les tétons de Delilah avec force, puis posa ses mains en coupe au-dessus d’eux, avant d’appuyer de toutes ses forces pour compresser les mamelles de cette salope. Delilah cria, plantant ses ongles dans le bois, et jouit une deuxième fois, criant plus fort encore. Dans la rue, les passants s’arrêtaient devant la maison de Lacker. Le forgeron la pénétrait d’avant en arrière, d’avant en arrière, d’avant en arrière, respirant plus fort à chaque fois. La sombre maîtresse sentit l’orgasme de l’homme monter, et se retira. Le forgeron, sa queue vibrant du sperme qui venait, la regarda avec une fureur assassine. Delilah se leva, puis se laissa tomber au sol, à genoux devant Lacker. — Regarde et profite, dit-elle, fixant le forgeron de ses yeux rouges. Elle prit la queue dans sa main et la masturba furieusement. Elle savait ce qu’elle faisait : trois secondes plus tard, un flot blanc et épais recouvrit son visage souriant, la forçant à fermer un œil. Lorsqu’il eut tout à fait fini, le forgeron caressa ses cheveux et murmura : — C’était sublime… Sublime…— Je sais… répondit Delilah en s’essuyant le visage.— Maintenant, lève-toi et raconte-moi ton histoire, ma belle. Delilah obéit. Elle raconta son histoire. Esclavage, torture, Nargulh… ...