Un voyage
Datte: 12/09/2019,
Catégories:
hplusag,
grosseins,
groscul,
Collègues / Travail
pénétratio,
fantastiqu,
aventure,
... fort sur le pantalon de Lacker, mais aucun pouvoir ne vint. Elle retira sa main et la regarda, confuse. L’érection qu’elle avait donnée au forgeron n’était qu’une réaction à son corps, à sa présence, mais ça n’avait rien à voir avec les orgasmes disproportionnés qu’elle était normalement capable d’administrer sur simple contact. Elle commença à se sentir mal. Le forgeron la fixa et, sans rien demander, repoussa les pans de la cape qui cachait le corps de Delilah. Celle-ci le laissa faire, trop troublée pour réagir. Sous son vêtement, elle ne portait qu’un string de cuir noir et la lanière autour de sa cuisse, qui retenait deux autres dagues prêtes à être lancées. Lacker sourit en découvrant cette peau bronzée et ces deux immenses pastèques qui lui faisaient office de seins. Il les prit dans ses mains calleuses et sales, soupesant leur poids (extrêmement lourd… Comment cette pétasse pouvait-elle ne serait-ce que marcher ? Peut-être était-elle vraiment aussi puissante qu’elle le disait…), les pressa, son sourire grandissant avec son érection. Puis il les lâcha et retira l’une des dagues serrées contre la cuisse de Delilah. — Un travail d’amateur… Delilah réalisa soudain ce qu’il était en train de faire. Elle lui prit la main et essaya de lui casser un doigt pour le punir de son offense. Elle n’y arriva pas. Sa force surhumaine était elle aussi du passé, semblait-il. — Mes dagues ? répondit-elle en essayant d’avoir l’air détendu. Peut-être. Mais mon corps, lui, est une œuvre ...
... d’art, le travail d’une vie. Il est bien plus cher que la meilleure de vos armes, conclut-elle en essayant de retenir la main du forgeron loin d’elle. Lacker rit, et prit les mains de Delilah dans les siennes. Il était d’une force surprenante pour son âge. Delilah lutta une seconde… Puis cessa, comprenant que l’affaire était en train d’être menée. — D’accord, Delilah Desire… Maintenant, on va finir ce qu’on a commencé, puis nous verrons ce que je peux faire pour vous…— Oh, vraiment ? Vous ne voulez donc plus que je m’en aille ? demanda Delilah en baissant la tête, mais en gardant le regard fixé sur Lacker.— Si vous ne vous montrez pas assez… inspirante vous quitterez cet endroit avec mon pied au cul, petite.— Oh, chéri, nous savons tous les deux que ce n’est pas ton pied, que tu veux me mettre au cul… dit Delilah en avançant sa cuisse gauche, qu’elle glissa entre les jambes de l’homme, caressant son sexe. Ça y était, elle était sur son terrain. Elle sourit, et souleva ses couilles de son genou. — J’ai été sur de nombreux champs de bataille. N’essaie pas de tour de salope sur moi, petite fille. À la moindre tentative, tu te retrouves enchaînée pour le marché aux esclaves. Je tirerai sûrement un bon prix de toi. Delilah prit un air faussement scandalisé et sourit. — Quoi ? Vous ne me faites pas confiance, maître Lacker ? Je suis outrée ! Moi qui ne veux que vous prouver l’admiration que j’ai pour votre travail et mon envie de posséder l’une de vos armes… Elle se mordit la langue ...