Origine espagnole
Datte: 13/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
lunettes,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
Je venais de divorcer et, fin septembre, je m’étais octroyé ces quelques jours de vacances, histoire de faire le point. Direction le sud de l’Espagne, un voyage dégriffé, comme on en trouve souvent à cette période de l’année. Il faisait encore très chaud, mais la plage quasi déserte était balayée par un doux zéphir, sensation agréable. Je marchais dans le sable depuis une petite demi-heure, m’étant fixé comme but de rejoindre l’autre extrémité de la baie où trônait un grand complexe hôtelier. Ça et là, quelques vacanciers étendus sur le sable bronzaient en toute quiétude. J’évitais de les regarder, pour ne pas les déranger, d’autant plus que certaines femmes n’hésitaient pas à retirer le haut. Or, je n’ai jamais été voyeur et ne suis pas indiscret. — Oh, c’est pas vrai. Le monde est vraiment petit ! Je relève la tête, surpris, les Françaises ne sont pas majoritaires de ce côté de la plage. C’est une petite femme à lunettes assise sur une serviette. Elle me fait de grands signes de la main. Je la reconnais à peine. Ah si, bien sûr, il s’agit d’une juriste qui travaille dans ma société. Mais d’ordinaire, elle est plutôt en tailleur, elle porte un chignon et son aspect austère et renfrogné fait qu’entre nous on l’appelle la « vieille fille ». Peut-être est-ce dû au fait que cette femme, dans la cinquantaine, petite et maigrichonne, ne vit que pour son boulot, elle déteste la plaisanterie et reste à l’écart de ses collègues. Il faut dire également que ses grosses lunettes ...
... épaisses de myope au dernier degré ne font rien pour arranger l’image que l’on a d’elle. Curieusement, sur cette plage, avec ses cheveux lâchés et ses petits seins à l’air, elle paraît beaucoup plus abordable. Elle a toujours ses grosses binocles mais elle est nettement plus souriante qu’au bureau. C’est surtout la dernière femme que j’aurais imaginée faire du monokini et ça, c’est vrai, cela change de façon radicale l’opinion que j’ai d’elle. — Ah, pour une surprise ! Bonjour… (Quel con je ne me souviens même plus de son prénom). Pardonnez-moi, j’ai fait le break pour ces vacances… J’ai même oublié votre nom !— … Claudine, Claudine Erable, finit-elle par ajouter pour m’aider. Et vous, vous êtes Hervé et vous travaillez au premier étage, au service client.— Vous êtes également en congés ?— Oui, pour une petite semaine, je viens tout juste d’arriver.— Moi de même, nous avons peut-être fait le voyage ensemble ? Sur ce, j’apprends qu’elle est arrivée quelques heures avant moi et que nous ne sommes pas non plus dans le même hôtel. Mais qu’importe, la coïncidence est quand même troublante. Elle est beaucoup plus bavarde qu’au boulot, beaucoup plus décontractée également. Elle me parle de ses précédentes vacances, des pays qu’elle a visités. Je suis assis à côté d’elle, je l’écoute religieusement. Je m’aperçois qu’elle est en train de lire « Tropique du cancer » d’Henry Miller. Je n’aurais jamais pensé que cette femme puisse s’adonner à ce genre de lecture, cela me fait complètement ...