1. Origine espagnole


    Datte: 13/09/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail lunettes, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo,

    ... proposition est inattendue. J’avais presque oublié la présence de Claudine. C’est d’accord. Elle passe me chercher au petit matin, vers 7h30, car nous avons de la route à faire… Nouvelle surprise le lendemain matin : Cette fois-ci, elle est habillée exactement comme lorsqu’elle va au bureau. Le même ensemble classique, jupe et tailleur beiges, le même chignon désuet, et puis les mêmes lunettes aux grosses montures vieillottes. Moi qui pensais pouvoir profiter encore un peu de son anatomie, et bien c’est raté. D’après ce qu’elle me dit, je comprends qu’elle veut donner une bonne image d’elle-même aux amis de sa famille. Mais si c’est ça, donner une bonne image ! Je pense plutôt qu’ils vont voir en elle une vieille fille coincée et acariâtre. Mais ça, bien sûr, je ne peux pas lui en parler et cela ne me regarde pas vraiment. Si j’avais su, je me serais mis en costard cravate pour donner le change. Mais là, je suis en short et en t-shirt, ça la fout plutôt mal. Je lui demande si ça ne la dérange pas : « Non, non, non », m’assure-t-elle. Mais je retourne malgré tout dans ma chambre pour me changer et enfile vite fait un pantalon de toile et une petite chemisette. En fin de matinée, nous arrivons dans un petit village très andalou. Quelques bâtiments d’inspiration nettement arabe. Elle fait le tour des bicoques. Elle dit « Bonjour » à tout le monde, certains la reconnaissent. Chapeau bas, elle parle un espagnol irréprochable. Les portes s’ouvrent, les gens nous accueillent. Et ...
    ... moi qui ne comprends pas un mot d’espagnol, j’ai bien du mal à savoir de quoi ça parle. Par contre, j’ai la très nette impression que les deux petits vieux chez qui l’on est me prennent pour le mari de Claudine. D’ailleurs, elle me présente à tout le monde, je suis son faire-valoir. Quelque part aussi, j’ai l’impression de m’être un peu fait niquer dans cette histoire. Ceci dit, les gens sont vraiment très sympathiques, ils nous accueillent à bras ouverts avec de larges sourires, j’ai à manger et à boire, beaucoup plus qu’il n’en faut, alors, que demander de plus ? Notre tour de place est terminé mais c’est le moment le plus chaud de la journée. Chez eux, c’est l’heure de la sieste ! Nous sommes chez un couple dans la cinquantaine. La dame me fait comprendre qu’avec Claudine, elles sont cousines. J’ignore à quel degré, mais les ressemblances ne sont pas flagrantes, c’est une femme au nez ibérique et que l’on imaginerait bien en train de jouer des castagnettes. Toujours est-il que ces braves gens insistent pour que, nous aussi, nous fassions la sieste. « Ce n’est pas l’heure de repartir, il fait beaucoup trop chaud. Ici, dans la montagne, il n’y a pas l’air marin. ». Voici ce qu’ils doivent être en train de dire en espagnol. J’ai beau ne pas comprendre la langue du pays, je comprends à demi-mot qu’elle nous entraîne vers nos appartements. Inutile de discuter, c’est décidé ainsi. La dame nous pousse dans une petite chambre vide aux murs tout blancs. Pour seul mobilier, un lit en ...
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