1. Pas d'obligation d'achat


    Datte: 05/09/2017, Catégories: fh, fffh, enceinte, boitenuit, danser, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral pénétratio, attache, amourdura,

    ... sur sa grossesse et les quelques contingences sexuelles qu’elle implique. Mais elle détaille aussi ses désirs de femme et les plus agréables manières de les satisfaire. Après le bousculement des corps et des sens que le spectacle a imposé à la mère comme à l’enfant, nous faisons longuement et très tendrement l’amour. Gavés de caresses et de volupté, nous finissons par nous endormir, étroitement enlacés. ooo000ooo Tôt le lendemain matin, elle se blottit contre moi et me fait remarquer que sa liste des envies de mère célibataire est maintenant réalisée. Elle le voit comme une étape dans sa vie. Et peut-être dans la mienne ? — J’ai besoin d’en savoir un peu plus sur vous avant de répondre. Question espaces verts qui sont votre quotidien, le Jardin d’Éden dans lequel nous nous sommes promenés cette nuit, c’est vous qui l’avez conçu ?— Malheureusement non, mais j’ai un petit projet pour un septième ciel. Envie de m’accompagner ? profère-t-elle avec une moue provocante. Après ce que nous venons de partager, je devais m’attendre à ce qu’une telle question. — Vous êtes catégorique en ce qui concerne votre refus de me revoir si j’entre au gouvernement ?— J’aimerais éloigner tout ce qui peut fausser une relation et la rendre artificielle. Je ne vois pas comment faire autrement dans une telle situation. Pourquoi, les choses se précisent ?— Elles semblent s’accélérer, en effet.— J’ai encore besoin d’un peu de solitude pour avancer. Je voudrais aussi pouvoir me préparer harmonieusement ...
    ... à l’accouchement. Disons que jusqu’à cette date, il n’y a aucune obligation d’achat… C’est le mieux que je puisse proposer. L’atmosphère du petit-déjeuner est un peu mélancolique, mais n’empêche pas quelques câlins très tendres. Je prends finalement congé d’Ariane qui doit faire encore un spectacle ce soir. Elle a besoin de ces cachets pour rembourser les dernières dettes qui restent de sa vie précédente. Juste avant de lâcher ma main, elle m’avoue n’avoir plus été aussi bien avec un homme depuis des siècles. Et qu’elle serait jalouse si le gouvernement la privait de ces frissons. ooo000ooo Quelques semaines plus tard, à 2 heures du matin, un texto arrive sur mon portable : Il me faut à peine plus d’un quart d’heure pour atteindre l’hôpital. Essoufflé, je déboule pour la première fois de ma vie dans une maternité. La responsable de l’accueil est prévenue. Elle me conduit jusqu’à la salle d’accouchement où elle annonce joyeusement l’arrivée du papa. Entre deux contractions, Ariane trouve la force et l’humour de souligner le quiproquo d’un clin d’œil narquois. Encore impressionné par la violence du déferlement d’émotions et de sensations, et surtout par tout ce que subit le corps d’Ariane, je garde de l’accouchement une multitude d’éblouissements successifs. Je fais de mon mieux pour accompagner la parturiente, et l’aider à traverser l’océan déchaîné que la naissance de son enfant représente. J’admire son courage, sa résistance, son abnégation, et je déplore de ne pouvoir lui ...