1. Une nuit, une seule...


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... tous les deux. Ca sert pas à ça les douches ? Avant de le laisser aller vers le lit, il fallait que je le chauffe un max. Je lui délie les mains et lui relie aussitôt sur le devant, je lui monte les bras contre le mur, au dessus de sa tête, je lui écarte les jambes au maximum, à l’oblique, comme les flics américains dans les films. Je fais tout cela un peu rudement. Je le palpe partout pour voir s’il n’a rien de caché sur lui !!! Je tape sur ses fesses plusieurs fois assez fortement. Il m’encourage à continuer en me disant qu’il adore. Je vois sa bite qui tremble littéralement de désir. Je lui écarte les globes et lui passe le majeur entièrement, d’un coup sec. Il souffle, se cabre et me crie : « -YEAH ! » J’essaie de lui en passer deux. Je ne veux pas le martyriser non plus. Je mouille mes doigts avec de la salive. Je force avec les deux. Il ondule. Aussitôt, je présente ma bite, simplement mouillée par l’eau du jet. Il sent mon gland et crie : « -Come on ! » J’essaie de m’enfoncer en lui. Je n’y arrive pas trop. Ca me fait mal, à lui aussi sûrement. « Take the dildo ! » Je vais le chercher dans la chambre, j’ai pris le plus gros. J’essaie de lui mettre au fond, à sec. Qu’est ce qui m’arrive ? Pourquoi cette brutalité ? C’est parce qu’il est attaché, aveugle, sans défense ? Ou parce qu’il me l’a demandé et que je veux le satisfaire ? Va falloir que je me pose certaines questions…Finalement, je l’enduis de gel et le pousse sur sa rondelle. Je force et il passe, je continue à ...
    ... lui enfoncer, il souffle. Je suis maintenant à fond. Je me mets à le limer avec le gros gode. Il encaisse sans broncher. J’ai quand même envie de lui faire plaisir, alors je retire le gode et le remplace par ma bite bien dure. Il gémit. Je le lime durement. Il gémit encore. Je le plie en deux, sa tête touchant presque ses pieds et le réenfile aussitôt. Je me mets à le bouriner. Je décide alors d’en rester là pour le moment. Je le sèche et lui réenfile son string ficelle et le guide vers le lit. Je le mets en levrette et lui attache les mains et les pieds aux bois de lit avec les quatre cordelettes. Je lui présente alors ma bite pour qu’il la suce, ce qu’il fait bien volontiers. Je prends alors les choses en mains et me mets à lui baiser carrément la bouche en la lui enfonçant sur toute sa longueur. Je m’active et il est vite à la limite de la suffocation. Je me place alors derrière lui, j’écarte la ficelle de son string, lui enduis copieusement la rondelle et l’encule d’un coup sec, à fond. Je me mets à le limer puissamment. Je sens qu’il se met à apprécier. J’accélère un peu la cadence. Il me crie presque : « -Wank me ! Please, wank me !! -No ! You are my slave. My beautiful slave, but my slave. No wank ! -Please… -No ! ». Je sais que c’est ainsi que je vais jouir mais je fais tout pour faire durer. Paulo gémit sous mes coups de bite de plus en plus violents. « -Go ! Go ! Fuck me hard ! » Il en redemande le bougre. Va-t-il, comme je l’ai déjà vu deux fois, « jouir du cul » ? ...