1. Une nuit, une seule...


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... A force de frotter sa prostate à outrance, ça déclenche parfois un orgasme anal. En tous cas, les deux fois, c’était plus que spectaculaire. Paulo ne se contrôlait plus du tout. Lui qui a toujours été « sonore » dans ses ébats, là c’était carrément la coupe du monde 2018 ! Je ne l’avais jamais vu hurlé comme ça…En plus, j’étais vachement fier que ce soit ma bite qui lui ait fait ça. Et content pour lui pour son super pied. Je crois que c’est la situation qui lui plaît. Il s’imagine probablement être violenté tout en étant sans défense. Ce qui est un peu, beaucoup le cas. Je me déchaîne sur son trou. Ma bite me brûle mais dieu que c’est bon ! Juste avant de jouir je l’empoigne par les cheveux et le tire vers moi à la verticale, à genoux. Sous le coup de l’excitation je lui déchire carrément le string en voulant lui arracher. Je jute dans son ventre en poussant un cri de bête. Presqu’aussitôt, je vois sa bite trembler et lancer deux longs jets de sperme sur le drap. Lui aussi a joui sans même se toucher. Je crois bien que c’est la déchirure de son string, ma jouissance brûlante dans son ventre, le fait que je le tire brutalement pas les cheveux qui ont déclenché son orgasme. On retombe, pantelants, comblés par la séance qu’il avait demandé. Je me demande bien ce qu’il va me faire subir en retour… Je sombre presque aussitôt. Eh bien, je me trompais. Le round suivant fut hyper doux. Ce fut très très long et d’une infinie tendresse. Paulo sera toujours aussi surprenant et ...
    ... imprévisible. Paulo était déjà presque en moi quand j’émergeais de mon sommeil. Je me sentais un peu beaucoup coupable de lui avoir infligé tout cela en début de nuit. Je lui en parle et il me rassure en me disant que ça lui avait beaucoup plu et qu’en plus, c’est lui qui me l’avait demandé. Je m’étonne même qu’il m’ait laissé me reposer tout ce temps. Je le remercie. Mais maintenant, j’ai envie de lui, j’ai envie de sa bite en moi, j’ai envie de retrouver tous nos gestes de tendresse habituels. Il me fourre tout doucement. J’adore sentir sa queue se glisser ainsi en moi dans mes entrailles. J’adore le sentir se coller contre mon dos et me serrer fortement dans ses bras. Je tourne la tête et cherche sa bouche avec avidité. Une fois sa bite totalement en moi, il ne bouge plus du tout. Je crois que les Italiens appellent cette position immobile « la carezza ». On se parle à voix basse, il me raconte ses périgrinations de la semaine. Je lui répète combien chaque nuit a été difficile sans lui. Il me couvre le cou de bisous mouillés en me caressant les cheveux. Je le sens bouger très très doucement en moi. « -Oh meu Paulo, it’s so good ! » Cette fois, il coulisse doucement de toute la longueur de sa bite. A chaque fois, je sens son gland qui vient me caresser la prostate. Trop bon ! Il me met sur le dos et me pénètre doucement aussitôt. Il a allumé la lumière et on se dévore des yeux tout en s’embrassant doucement. Je ne le reconnais plus. Habituellement, quand on se retrouve, le premier ...