L'invraisemblable virginité de Sylvie
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
fh,
hh,
grp,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
... elle sourit. — Oh… mais, entre nous, tu vois, moi aussi, mais c’est à la mode, tu vois ! dit-elle en tordant la bouche et relevant les épaules tout en faisant bondir en avant ses seins.— Y en a même qui s’y mettent à l’étage ! cela me répugne ! dis-je en pensant à Paul.— Partout, il y en a partout, j’ai un neveu qui en fait et des amis, alors je leurs dit : mais pourquoi les mecs ? un homme, un vrai homme doit être viril, poilu, piquant ! une brute, quoi, oui une vraie brute, c’est ça un homme, pas une tapette.— Oh, je ne peux être que parfaitement d’accord ! dis-je avec consentement, étonné de son franc parler.— Pour les filles, c’est différent, dit-elle en croisant les jambes, il faut qu’elles soient soignées, palpitantes, excitantes, sexy, il faut qu’elles sachent exposer leurs atouts !— Humm, lui dis-je en la fixant dans les yeux, et je vois comme une étincelle dans ses prunelles.— Bon, dit-elle en se levant, je m’excuse de la gêne, je te laisse bosser !— Oh, non, Sylvie, de toute façon, j’allais aussi partir, juste un instant, je t’accompagne au métro. Dans l’ascenseur, je laisse tomber une main sur sa jupe, elle ne dit rien, puis dans le métro je lui colle la jambe et elle ne fait rien pour m’éviter, enfin en arrivant à sa station de métro, je sors avec elle, sans rien dire, et une fois dans la rue : — Je t’accompagne jusqu’à chez toi, lui dis-je… après… je rentre…— Oh, c’est très gentil, mais je t’invite à boire un verre avant… enfin, si tu veux !— Avec plaisir… ...
... oui… avec plaisir. Le plan est parfait, comme dans une histoire de Revebebe bien notée par Nicoli, légèrement romantique, à peine corsée, sans digressions, sans rebondissements, mais pas complètement plate non plus. Les rues sont calmes, l’air est doux, des amoureux se bécotent sur un banc public éclairé par une lanterne garnie de chandelles, quelques fenêtres sont ouvertes, d’autres illuminées, et l’on entend de loin s’éloigner la sirène d’une ambulance, avec le murmure continu que font les automobiles dans la nuit de Paris. Me voilà dans son salon deux-pièces parisien, installé sur un canapé en cuir bleu, long et profond, recouvert de petits coussins fleuris, entouré de plein de meubles de haute facture et de bibelots divers et variés, et des tableaux romantiques en toiles sur les murs. Mais les choses vont vite se précipiter, elle ramène deux verres et une bouteille de gin et nous commençons à boire côte à côte, à petites gorgées pour démarrer, puis en grandes lampées, et petit à petit, je me rapproche d’elle et petit à petit je la colle, enfin je l’enlace et je l’embrasse sur la bouche. Elle se laisse faire, m’offre sa langue que j’enroule. Ma main aussi entre en guerre, elle fouille dans sa poitrine, s’immisce par le col, va chercher la chair palpitante des seins. — Attends, me dit-elle, en enlevant son corsage, elle maintient ses gros seins bruns dans un soutien-gorge en dentelle rouge, découpé au niveau des mamelons, qu’elle a tout foncés, presque noirs.— Oh, ils sont ...