L'invraisemblable virginité de Sylvie
Datte: 14/09/2019,
Catégories:
fh,
hh,
grp,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
... vraiment magnifiques ! Je plonge ma tête dans sa poitrine et flaire bruyamment sa peau qui commence à se couvrir de chair de poule, et ma main va tenter le chemin entre ses cuisses, mais elle serre les jambes, prend ma main et la met dans bouche. Elle commence à me sucer le pouce, puis l’index, puis le majeur en le faisant coulisser entre ses lèvres. Je tente de mettre mon autre main entre ses cuisses mais elle reste toujours aussi crispée, et il me revient ce que m’avait dit Annie à propos de son enfance et de son père castrateur et je me dis qu’elle est certainement coincée à ce niveau-là, atteinte d’une névrose phobique qui se déclenche en présence d’objets turgescents, et qu’il faut que j’y aille doucement. — Je sais que tu es… mais détends-toi, ça va être facile et délicieux, tu vas voir, je lui chuchote dans l’oreille.— Oui, dit-elle sensuellement, mais doucement, ça va venir, répond-elle en mettant sa main entre mes cuisses, là où je bande depuis un petit moment. Elle se relève, se met à genoux, déboutonne la braguette, débarrasse mon slip, et commence à me branler doucement puis elle verse un peu de gin sur ma verge, la prend dans sa bouche et commence à me faire coulisser la tige en pressant sur les couilles et en enroulant à chaque mouvement le gland par sa langue. En fait, je me rends compte qu’elle me suce comme je n’ai jamais été sucé ! Étrange pour une vierge, non ? Je pense alors à celui qui a dit que l’absence d’un sens, hypertrophie les autres (Montaigne ...
... ?), et je me dis que cela doit être aussi vrai en sciences lubriques. Mais ma pensée n’a fait qu’augmenter mon excitation et, au bout d’un délicieux moment durant lequel elle a réussi l’exploit de mettre toute ma bite au fond de sa gorge, mon foutre corsé et chaud gicle dans sa bouche en un long jet continu, ou presque. — Alors ! t’as aimé ? me dit-elle en essuyant ma queue par sa langue et en me levant ses yeux !— C’est ter-rib-le Sylvie, ter-rib-le !— Oh, c’est un grand honneur ! me dit-elle en baissant les yeux, de manière presque surréaliste. On se repose un peu, on boit encore un gin et elle nous ramène du thé et des macarons que nous mangeons enlacés sur le canapé. Tout ce temps, je tente encore d’ouvrir ses cuisses mais elle reste toujours aussi crispée. Elle passe une main sur mon sexe pour surveiller mon érection. — Allons dans ma chambre, dit-elle quand elle remarque que j’ai à nouveau bien durci, et laisse-moi faire, il ne faut pas se précipiter ! Je m’étale sur son lit rose bonbon, à côté de grandes peluches blanches et rouges. Elle me donne encore un verre à boire, puis me tourne le dos et dégrafe d’un mouvement lent et gracieux sa jupe ; ses cuisses me paraissent musclés, huilées et, tout en haut, un string rouge est enfoncé entre ses fesses luisantes. Elle éteint la lumière, se tourne vers moi, et viens se mettre sur mon ventre, une cuisse de chaque côté et, d’une main qu’elle balance en arrière, elle prend ma queue et se remet à la branler doucettement. Par la ...