1. Le fonctionnaire de police, la conductrice et le routier


    Datte: 16/09/2019, Catégories: fhh, uniforme, parking, voiture, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    Un lundi maussade de janvier. Martin, policier de son état, prenait son service à sept heures du matin. Regroupés autour de la machine à café, lui et ses collègues se racontaient leur week-end avant de prendre leur poste. Aujourd’hui, Martin était affecté à un carrefour très fréquenté. Un trop grand nombre d’accidents s’était produit parce que les conducteurs ne respectaient pas le stop. Il devait donc se poster à l’intersection et faire en sorte que le code de la route soit respecté. La plupart du temps, le syndrome de la peur du gendarme suffisait, et lorsque les gens constataient la présence d’un policier, ils marquaient le stop. Mais parfois, les habitudes avaient la dent dure et Martin devait sévir. Cependant, ce métier lui plaisait de moins en moins et désormais il allait travailler en traînant les pieds, sans le moindre enthousiasme. Cela se ressentait à son humeur et, dans ces cas-là, il se montrait peu conciliant avec les contrevenants. Il termina sa tasse, salua ses collègues et sortit dans le froid vif. Il monta dans sa voiture et prit la direction du carrefour, situé à une dizaine de kilomètres. Florence était en retard, comme d’habitude. Il était huit heures et elle n’était pas encore prête. Son téléphone à l’oreille, elle donnait les premières directives de la semaine à sa secrétaire, tout en coiffant ses deux filles et en tentant d’enfiler ses chaussures. Son mari était parti travailler depuis plus d’une heure et elle se retrouvait seule à gérer les premières ...
    ... minutes de la journée. Malgré tous ses efforts, elle n’arrivait jamais à s’organiser et finalement elle se retrouvait en retard. Heureusement, son oreillette lui permettait de prendre un peu d’avance sur le boulot et elle remerciait à chaque fois sa secrétaire d’être une femme organisée, qui était à son poste à l’heure et pouvait prendre le relais jusqu’à son arrivée. Les enfants étaient prêts, elle les attacha dans la voiture, démarra sans stopper sa conversation et amena les enfants à l’école. Finalement, elle arriva avec une demi-heure de retard à son travail, ce que personne ne lui fit remarquer. Xavier roulait depuis le milieu de la nuit. Il commençait à se sentir fatigué et il avait faim. Un panneau lui annonça justement une aire de repos à dix kilomètres. Il y serait dans moins de dix minutes. Un bon petit déjeuner, une petite heure de repos et il pourrait repartir. Il regarda sa montre. Il était neuf heures et demie. Cela faisait donc plus de sept heures qu’il avait quitté l’entrepôt, sans jamais s’arrêter. Si les flics l’interceptaient, il était cuit, il le savait. Mais le chargement de son bahut avait traîné et il devait rattraper le temps perdu pour arriver dans les temps. Il adorait son travail, surtout lorsqu’il fallait le faire de nuit. Les routes étaient peu fréquentées, les gens qu’il croisait lors de ses arrêts nocturnes étaient sympathiques. C’était un autre mode de vie, plus calme, plus intime, moins stressant. De plus, comme il était célibataire, personne ...
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