1. Le fonctionnaire de police, la conductrice et le routier


    Datte: 16/09/2019, Catégories: fhh, uniforme, parking, voiture, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... plaît.— Mes phares ? Ah oui, j’ai oublié de…— Comme le stop ?— Quel stop ?— Celui que vous venez de griller, cent mètres plus haut, Madame.— Pourtant je connais la route par cœur, mais je l’ai totalement zappé. Je suis vraiment désolée.— Vos papiers, s’il vous plaît.— Tenez. Elle semblait un peu agitée, alors Martin pratiqua un test d’alcoolémie qui se révéla négatif. — Madame, votre carte grise n’est pas en règle. Vous avez grillé un stop. Vous téléphoniez en conduisant. Je n’insiste pas, cela va vous faire déjà assez cher.— Oh non. Je n’ai pas eu le temps de faire changer mes papiers, j’allais le faire…— Alors, quatre points pour le stop et trois points pour le téléphone, comptabilisa Martin en sortant son carnet de procès-verbal. Je vous fais cadeau des papiers. Indiscutablement, Martin reprenait du poil de la bête. Il avait toujours aimé la supériorité et la puissance que lui donnait l’uniforme. Mais ce soir, alors que la dépression le guettait, cette femme qu’il trouvait magnifique, était aux abois et totalement sous son contrôle. — Alors, on devrait atteindre les deux cents euros. Vous portiez votre ceinture ?— Oui, oui.— Vous en êtes sûre ? Je vais peut-être rajouter ça aussi.— Non, je vous en prie.— J’espère qu’il ne vous manquait pas de points, sinon, vous allez devoir laisser votre véhicule sur place.— Oh non, s’il vous plaît, soyez gentil. J’ai besoin de ma voiture.— Je fais mon métier, Madame.— Je… Oh mon dieu, je suis désolée… Elle commença à pleurer. Désormais, ...
    ... il la tenait. Des collègues de Martin avaient raconté ce genre de situation, mais il avait toujours pensé qu’il s’agissait de vantardises. Pourtant, c’était en train de lui arriver. Mais allait-il franchir le pas ? Il la laissa sangloter quelques minutes, puis il commença à ranger son stylo et lui dit : — Il y a peut-être un moyen de s’arranger. L’espoir revint dans les yeux de Florence. La journée avait été dure, éprouvante, longue. Et maintenant, ça. Bien sûr, tout était de sa faute et elle s’en voulait. Son mari allait lui passer un sacré savon et c’était mérité. Aussi, si le policier voulait être conciliant, elle sauterait sur l’occasion. — Je vous écoute, dit-elle en séchant ses larmes.— Je veux bien me montrer aimable, mais vous devrez l’être également. Florence ne saisit pas tout de suite l’insinuation de Martin. — Si vous voyez ce que je veux dire, ajouta-t-il devant son silence. Elle comprit à son regard ce qu’il avait en tête. Elle ne répondit pas. Elle réfléchissait. Il n’avait pas rangé son carnet et pouvait toujours noter les infractions et la verbaliser. Qu’est-ce qui était le pire ? Plus de permis et une grosse amende, ou passer quelques minutes avec cet inconnu ? Ses yeux allaient des mains de l’agent à son visage. Puis elle prit son portable et composa le numéro de chez elle. — Je préviens mon mari que je serai en retard. Martin eut du mal à y croire. Ainsi, c’était vrai. Certaines femmes préféraient passer sur la banquette arrière avec un flic plutôt que de ...