1. Le cadeau de la St Valentin (1)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Hétéro

    ... premier cadeau – enfin, vrai cadeau de St-Valentin. — Tu l’ouvriras pendant que je finis de préparer le repas. Je descends et m’affaire en cuisine. En guise de repas j’ai prévu un apéro dinatoire avec une bouteille de champagne. Elle descend. Elle porte une chemise-tunique en jean avec une ouverture à boutons sur toute la longueur. Des chaussures à talons. Elle est joliment maquillée. On s’embrasse. Je nous sers une coupe de champagne et on discute de choses et d’autres : la journée, le boulot… Je vois les tétons de ma belle darder à travers le tissu. Je m’en amuse et lui manifeste mon intérêt : — C’est joli, Madame, ce que vous montrez là ! — C’est bizarre et pas très joli, je trouve… — Je ne peux pas te dire, mais ce que je vois me plaît bien… — Bah oui ! On croirait que je n’ai rien dessous… Je ne porterai pas ça en public ! — Dommage ; comme ça, j’aime bien… Elle déboutonne son vêtement et je vois ses deux beaux globes apparaître. Ils sont serrés par l’étoffe ; j’adore ! Je ne résiste pas à me pencher pour embrasser ces deux jolis tétons. Je les lèche, les suce, je les trempe même un peu dans le champagne avant de les téter à nouveau. Pendant ces petits jeux, je glisse ma main entre ses cuisses et constate qu’elle ne porte pas de culotte. Je pince son clito entre mon index et mon pouce et tire légèrement dessus. — Non, attend un peu… On va manger et ensuite on monte dans la chambre. Et les enfants ne dorment pas encore. — OK, mais alors interdiction de refermer ta ...
    ... tunique. Laisse tes seins dehors. Nous finissons la bouteille de champagne en grignotant. Chaque occasion est pour moi un prétexte pour toucher ou effleurer ses nichons qui me rendent fou. Je bande, et mon jean est une vraie contrainte. Je lui fais constater mon état. Elle me propose de monter avec une dernière coupe et le dessert. Quelques instants plus tard nous sommes sur le lit. Je suis à peu près sûr que lorsqu’elle va voir l’engin que je lui réserve, elle va refuser de l’essayer. Je décide donc de lui couvrir les yeux avec un masque. Une fois masquée, j’ouvre sa tunique pour découvrir sa chatte taillée avec soin. Je la caresse, sans oublier le moindre recoin de son corps, m’attardant sur ses seins qui me fascinent ainsi exposés. Je sors mon sexe et l’approche de sa bouche. Toujours cette manie de devoir immortaliser ces moments, je sors mon téléphone et fais quelques photos. Je lui fais prendre la pose avec le gros gode que j’ai sorti mais qu’elle ignore encore. Au bord de l’éjaculation je l’arrête et lui demande de s’allonger. Je plonge ma bouche sur son sexe. Je suce son clito comme une petite queue. J’aspire ses lèvres, les écarte avec mes doigts, puis enfonce d’abord deux doigts puis trois pour dilater son vagin en prévision de cette pénétration inhabituelle. Après une nouvelle série de clichés, je présente le gland de la grosse pine devant l’entrée de sa chatte dilatée par tant d’attentions. Je pousse doucement ; elle écarte les cuisses pour faciliter la progression. — Ça ...