1. Le cadeau de la St Valentin (1)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Hétéro

    ... va ? Je ne te fais pas mal ? — Non, pourquoi ? Elle ne sourcille pas devant la taille imposante de cette énorme bite. Je la pousse un peu plus et commence de petits allers-retours. Elle ondule du bassin pour venir à la rencontre de ce corps qui n’est plus si étranger que ça. Ses lèvres s’écartent pour laisser le gode s’engouffrer. Cela laisse apparaître son clito qui est gonflé comme rarement je l’ai vu ! Je la baise avec ce gode en prenant soin de gagner un petit centimètre à chaque passage. Elle soupire et m’annonce : — Oh oui, c’est bon ! — T’aime ça, hein ? — Oui. Approche que je te branle. — Tu aimes avoir une grosse queue comme ça dans la chatte ? Tu la sens bien, hein ! — Humm… — Tu es une cochonne ! — Non : ta cochonne ! — Tiens, prends-le et fais-toi jouir… Je lui saisis en même temps le poignet pour poser sa main sur le gode et sa grosse paire de couilles. Aussitôt elle commence se masturber avec. J’aime la regarder dans ces moments : non seulement elle est belle, mais en plus il y a plein d’indications sur ce qu’elle aime. Et d’ailleurs je constate qu’elle envoie le chibre bien plus profondément que j’osais le faire. Je me branle en la regardant. Je la filme aussi… Comme je sens son plaisir monter, je m’approche et je frotte mon gland sur son clito turgescent. — Oh oui, tu vas me faire jouir ! — Vas-y, cochonne, branle-toi bien la chatte ! Baise-toi comme tu aimes être baisée ! C’est trop beau de la voir se planter ce pieu dans la chatte. Je me branle au ...
    ... contact de son clito, et très vite je l’arrose littéralement. Je constate que ça l’excite de plus belle et elle jouit sur deux ou trois poussées encore plus profondes. Je place mon genou contre la base du gode pour le bloquer tout au fond de son sexe et me penche pour l’embrasser sur les seins, puis sur la bouche ; un beau et long baiser langoureux et amoureux. — Enlève-le, maintenant. odcovn — Tu aimes les grosses queues ? — Allez, enlève-le, cela commence à faire un peu mal. — Dis-le que tu aimes les grosses queues. — … Tu sais très bien que je ne te dirai pas ça ! — Attends, c’est toi qui vas le retirer, mais je veux que tu enlèves ton masque avant. Elle l’ôte, et une fois qu’elle s’habitue à la lumière, je la libère de mon étreinte. Elle saisit les grosses bourses en plastique à pleine main et retire le gode en regardant l’objet du désir. — Pouah ! Mais tu es malade : il est énorme ! — Oui, mais il rentre… — C’est beaucoup trop gros ! — Oui, mais il rentre… — Tu es vraiment un vicieux ! — Non seulement il rentre, mais je ne crois pas me tromper en disant que tu as bien joui. Elle se lève en se tenant un peu le ventre. Elle retire sa tunique et part vers les toilettes. — Hep, ma p’tite dame, vous oubliez vot’ vaisselle ! Elle me regarde, amusée, lui tendre le monstre phallique. Elle le prend par les couilles et se dirige vers les toilettes. Je la regarde partir, son petit cul à l’air qui se dandine, ses seins toujours présentés et érigés dans ce soutien-gorge sans bonnets, et ...