1. Ma vie de commerciale adultère (1)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Divers,

    Mon histoire est d’une affligeante banalité. J’ai commencé à tromper mon mari il y a maintenant plusieurs années quand je me suis rendu compte qu’il ne se privait pas d’aventures extra-conjugales avec des femmes mariées rencontrées sur internet. Peut-être que, finalement, ma seule originalité est d’avoir fait de mes aventures extraconjugales lors de déplacements professionnels un blog que j’essaie, tant bien que mal de tenir à jour. Croyez-moi, en semaine une femme sexy en déplacement professionnel n’a vraiment pas besoin d’internet pour se trouver un bon plan cul lorsqu’elle dîne seule au restaurant d’un hôtel fréquenté par des hommes seuls eux aussi bien souvent en déplacement pro. Ma technique est bien rôdée et presque infaillible. Robe en laine moulante mettant en valeur mon petit cul et mes gros seins et mine un peu chagrine de femme s’ennuyant au bar de l’hôtel. Il n’en faut en général pas plus pour qu’un homme seul m’aborde sous un quelconque prétexte allant de :"Vous aussi vous participez au symposium vétérinaire cardiologie canine." à "Vous sauriez où je peux acheter des cigarettes à cette heure-ci ?" en passant par "Si vous vous apprêtez à dîner seule, nous pourrions dîner seuls mais à deux…" C’est un jeu d’enfant tellement facile que parfois je suis obligée de faire semblant de ne pas être intéressée au premier abord pour corser un peu les choses et faire durer le suspense. Mais je finis toujours par accepter une table à deux. Le dîner me semble toujours trop long ...
    ... et la conversation de mon prétendant bien souvent d’un ennui à mourir. Neuf fois sur dix c’est moi qui dois prendre l’initiative de déchausser mon escarpin pour faire du pied à l’homme qui se met à penser qu’il est tombé sur une prostituée. Je dois toujours le rassurer, expliquer que je suis mariée mais tellement malheureuse dans mon couple depuis que je suis cocue. En fonction de mon humeur du jour j’ai soit envie de me venger, soit je suis un peu perdue et cherche un confident, ou alors je joue la provoc en assumant carrément être une grosse salope en manque sexe. Je fais de mon mieux pour m’improviser le personnage qui me semble le plus à même d’attirer l’inconnu jusqu’à ma chambre d’hôtel. Croyez-moi, il est rare que le repas aille jusqu’au dessert. Le dessert c’est moi pour lui et lui pour moi dans sa chambre ou dans la mienne. Lorsque je suis chanceuse il passe lentement une main sous ma robe en laine et fouille ma chatte trempée en même temps qu’il m’embrasse. Nos baisers sont mouillés et tout en langues. Si je devine à ses gestes de l’expérience alors je le suce sans peur qu’il n’éjacule trop vite. Si la drague est toujours presque la même je suis toujours surprise de ce qui se passe entre nos corps tant c’est à chaque fois différent et nouveau. Il y a les tendres et leurs interminables cunnilingus, les brutaux qui me défoncent le cul comme une chienne, les timides avec lesquels je dois tout faire, les littéraires qui joignent toujours le verbe ordurier à l’action. Il ...
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