1. Ma vie de commerciale adultère (1)


    Datte: 16/09/2019, Catégories: Divers,

    ... y a ceux qui s’enfuient juste après l’amour, ceux qui fument une clope et recommencent, ceux qui tombent amoureux et que je dois décourager d’obtenir mon numéro ou mon vrai nom, les éjaculateurs précoces que je dois rassurer et aider avec un peu de chimie, les marathoniens qui s’enorgueillissent des orgasmes multiples qu’ils me donnent alors que j’ai souvent envie qu’ils en finissent et partent. Mais il y a aussi mon humeur du jour qui fait de chaque fois une expérience différente. Je suis parfois la secrétaire offrant ne cravate de notaire à monsieur, ou la jeune femme timide couinant dès qu’on la touche ou encore la folle qui fournit menottes et martinet à l’homme qui n’en revient pas de sa chance ce soir-là. Parfois, trop rarement hélas, je tombe sur un bouffeur de seins bavard. C’est un truc qui me rend complètement dingue. L’homme se prend de passion pour ma généreuse poitrine et embrasse tout en langue et en salive. J’aime particulièrement deux choses : a/ qu’un homme malaxe, embrasse et mordille mes seins. aopaiilx b/ qu’il ne cesse de parler pendant l’amour, complimentant chaque partie de mon corps de salope et oubliant toute timidité quant aux insultes sexistes qu’il utilise. Je veux ...
    ... être tout pour lui, sa pute, sa grosse salope, sa chienne lubrique, sa bonne cochonne qui va en prendre plein le cul, son canar des îles qui va couiner. J’aime aussi la baise façon interrogatoire :"Tu aimes ça hein salope ? Tu la sens bien ma grosse queue dans ta cramouille ? Tu l’imagines dans ton petit cul de pute ? T’en veux encore ? Ton mari il sait que tu suces comme une actrice porno ? etc..." Lorsque je me suis découvert ce penchant pour les plans cul sans lendemain je sortais d’une longue période de fidélité et de ce que je croyais naïvement être le bonheur conjugal. J’ai eu un peu peur, je me suis demandé si je ne devenais pas folle. Mais petit à petit j’apprivoise ma double vie. Je mens toujours et bien sûr personne ne sait la vérité. Mais grâce à mon blog et à des sites comme celui-ci j’arrive à trouver un équilibre et à assumer à quatre-vingt-dix-neuf pour cent. Le un pour cent restant étant ce que je n’ose pas encore écrire, même anonymement. C’est ma vie, mon histoire et elle est vraie. J’avais juste besoin de l’écrire ici car ailleurs je dois tout cacher derrière le masque de la respectabilité d’une bonne mère bonne épouse vivant dans une petite ville de province. Le comprenez-vous ? 
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