1. Charlie ?


    Datte: 16/09/2019, Catégories: fh, toilettes, humour,

    ... suis Charlie aussi.— Là, comme ça, en pleine rue ?— Tu vois que tu es déjà d’accord puisque c’est seulement la rue qui te dérange, pas ma main.— Tu es l’homme des conclusions rapides. J’espère qu’au lit tu vas moins vite.— Là, sous cette porte cochère, j’ai ton sein dans ma main. Patrick sera au courant, j’espère ?— Ne t’inquiète pas, il le sera.— Tu as remarqué que ton sein épouse parfaitement la forme de ma main ?— Il m’a semblé que c’est plutôt l’inverse, mais c’est comme tu veux.— Tu ne semblais pas croire à mon érection matinale.— Tu veux voir si ma main épouse parfaitement ton membre ?— Oui, il est possible que tout s’épouse chez nous.— Eh bien non, elle n’épouse pas. Elle est trop petite.— Ta main ?— Non, ta bite.— Attends un peu, elle peut encore grandir.— J’ai l’impression d’avoir quinze ans et de sortir du lycée.— Oui, nous sommes en pleine régression. Comment as-tu fait l’amour la première fois ?— Dans les toilettes d’un café.— On y va ?— Tu n’as rien de plus confortable ?— Au diable le confort ! Nous sommes jeunes et tellement au-dessus des contingences, des convenances…— Quand on a quinze ans, on va là où on peut, parce qu’on ne peut pas aller ailleurs.— Regarde ce café qui nous tend les bras et le percolateur. Il n’est pas là par hasard ; il est tout simplement sur notre route.— Je n’avais pas vu les choses aussi romantiquement. Mais avec toi, tout se trouve miraculeusement sur ta route : moi, Charlie, la porte-cochère, le café, tes doigts dans mon slip…— ...
    ... Alors, on y va ?— Oui, si tu réussis à retirer ta main de mon froc.— Deux cafés s’il vous plaît. Où sont les toilettes ? En bas ?— C’est dégueulasse… Des toilettes à la turque…— Ouais, vraiment crade. C’est vraiment ce qu’on appelle des chiottes. Mais ça ne devait pas être plus propre quand tu as baisé pour la première fois.— La même puanteur.— Tiens-toi au tuyau. Je vais… Mais tu es encore…— Pleine de sperme, oui, je t’ai dit que je sortais de son lit, et il aime que je sorte ainsi encore maculée de sa semence…— Décidément Patrick ne nous quitte jamais.— Prends-moi, au lieu de raconter notre vie.— Voilà, voilà. Tu vois qu’elle est un peu plus longue que tout à l’heure.— Comment veux-tu que je voie ? Ah oui, quand même…— Chut ! C’est occupé ! Vous voyez bien que…— Mais merde, tu as fait exprès de ne pas fermer la porte !— Non, vraiment, je…— Tu vois, cela aurait pu être un beau souvenir malgré le côté cradingue du lieu, mais comme presque tous les mecs, tu as su tout gâcher.— Franchement, je ne comprends pas…— Moi, je me comprends. Tu t’es dit que, si en plus d’une nana un peu facile, tu pouvais avoir le regard d’un voyeur, même d’occasion, cela t’exciterait davantage encore…— Écoute, le type n’a rien vu, il a refermé tout de suite la porte.— Quand il a ouvert, j’ai senti tes coups de reins plus violents et ton souffle plus rauque, comme si la personne qui t’intéressait le plus dans cette sordide baise, c’était le mec qui avait la main sur la poignée des chiottes.— Mais ça va à la ...