1. Marie-Laure


    Datte: 06/09/2017, Catégories: fh, couple, Oral pénétratio, fouetfesse, init, Collègues / Travail

    ... non. Je l’ai prévenue que mon petit deux-pièces était dans un désordre indescriptible, elle a eu un petit geste de la main pour dire qu’elle s’en moquait complètement. Nous voici maintenant chez moi ; un séjour-cuisine à l’américaine, une chambre avec salle de bain et toilettes. J’ai installé Milo dans le canapé du séjour, avec un petit verre de rhum vieux pour patienter, pendant que je fais disparaître tout ce qui traîne un peu partout. En trempant ses lèvres, elle m’observe avec un sourire en coin, et je fronce les sourcils : — Vous avez tort de vous moquer de moi comme cela, savez-vous ce que vous risquez ?— Je m’en doute, oui. La fessée à coup sûr, non ? Les bras m’en tombent. Du coup je cesse net ce que je faisais et je viens m’asseoir auprès d’elle : — Comment avez-vous deviné ?— Je ne suis pas née de la dernière averse, d’une part, et d’autre part j’aime bien lancer ainsi un ballon d’essai, pour voir…— Est-ce à dire que vous aimez être fessée ?— J’ai horreur de la brutalité, mais si vous savez vous y prendre, on peut l’envisager. Je me verse aussi un petit verre de rhum que je m’envoie aussitôt au fond du gosier, tant elle m’a désarçonné. Elle rit aux éclats, elle semble ravie du bon tour qu’elle m’a joué. Je finis ce que j’avais abandonné, puis reviens m’installer près d’elle. Je l’embrasse, elle me rend mon baiser avec fougue. — Milo, voilà un mois que nous nous connaissons, un mois que j’ai une envie folle de vous fesser. Malheureusement pour moi, vous ne m’avez ...
    ... jusqu’ici fourni aucun prétexte, vous êtes parfaite !— Mon cher, il suffit de demander poliment comme vous le faites, dit-elle en se levant. Et, calmement, elle enlève sa veste de tailleur qu’elle dépose soigneusement sur un dossier de chaise, ôte ses chaussures, elles aussi proprement rangées sous la chaise, dézipe sa jupe et la range, enfin vient devant moi en petite culotte : — Vous me pardonnerez, j’espère, de n’avoir ni collant ni bas avec la chaleur actuelle. Peut-être pourrez-vous un jour me contempler dans cette tenue qui plait tant aux messieurs, je crois. Je lui tends les bras pour l’aider à s’installer à plat ventre sur mes genoux, j’ajuste sa position pour la mettre « à ma main » et je baisse tout doucement la petite culotte blanche jusqu’aux plis des genoux ; elle n’a pas protesté, mais moi, je reste ébloui par la perfection de son fessier. Elle me présente une chute de reins admirable, l’image d’un violoncelle, il n’y manque que les deux ouïes et ce serait la splendide photo de Man Ray. Je commence par caresser, posément, m’approprier ce postérieur féminin adorable dont j’ai, depuis un mois, soupçonné la beauté. — Ça n’est pas désagréable, certes, mais je m’attendais à plus de sévérité, dit-elle avec moquerie. Je claque aussitôt doucement, une fesse puis l’autre, j’obtiens à chaque impact un accusé de réception, un petit cri. Je m’interromps après une série d’une dizaine qui amène une jolie teinte rose sur ce délicieux terrain de jeux. — En voulez-vous encore ?— ...
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