1. Marie-Laure


    Datte: 06/09/2017, Catégories: fh, couple, Oral pénétratio, fouetfesse, init, Collègues / Travail

    ... J’espère bien, ce n’est là qu’aimable contact.— À votre service, chère madame. Je reprends la fessée plus sèchement. Chaque claque est maintenant accompagnée d’un « ah ! », voire d’un « ouille ! » et le gentil derrière se colore vers le rouge. À la fin d’une nouvelle dizaine, je m’informe : — Où en est-on, jolie madame ? Me permettez-vous un attouchement indiscret qui me renseignerait ?— Attouchez, attouchez, cher monsieur. Je me vois mal positionnée pour vous refuser ce privilège. Fort de cette permission, j’insinue ma main entre deux jolies cuisses, et d’un doigt curieux m’en vais juger de l’humidité éventuelle qui régnerait là où vous imaginez. L’examen m’incite à commenter : — Il me semble que nous sommes sur le bon chemin, presque arrivés n’est-ce pas ?— Votre diagnostic est correct, à mon sens. Et sa voix tremble un peu, me semble-t-il. Aussi je juge qu’il faut s’arrêter bientôt, je rajoute quelques bonnes claques et termine par des caresses très légères. Puis je l’aide à se redresser et l’invite à s’asseoir sur mes genoux. Elle met ses bras autour de mon cou et s’abandonne dans le creux de mon épaule. Il me semble apercevoir un peu d’humidité au bord des cils, aussi je lui soulève le menton et baise ses yeux avec tendresse. Sans ouvrir les yeux, elle cherche ma bouche, après un long baiser elle me souffle : — Merci, c’était bon.— Et si nous allions au lit, ne serait-ce point meilleur ? Je la prends dans mes bras et l’amène sur mon lit. Pendant que je me déshabille, ...
    ... elle se débarrasse de sa culotte et déboutonne son chemisier, puis se tourne sur le ventre et dégrafe son soutien-gorge. Je suis maintenant nu, je l’aide à ôter ses derniers vêtements et je lui propose une crème apaisante pour ses fesses mais elle refuse. Nous sommes allongés côte à côte, elle se saisit de ma queue bien dressée puis, m’enjambant, elle se l’introduit dans la chatte d’accueillante moiteur ; enfin elle se couche sur moi de tout son long. Et là, vous ne me croirez pas, rien qu’avec, comment dire, des spasmes de son intimité, sans bouger son corps, j’ai l’impression qu’elle me soulève, et ça me fait un effet énorme, il me vient l’envie d’aider à la manœuvre, je donne des coups du bassin et enfin nous émergeons au septième ciel. Je me suis promis de lui demander plus tard où diable elle avait appris ce truc. Nous avons passé une partie de la nuit à nous faire du bien, le reste à récupérer et le matin venu, c’est encore une fois l’enchantement, constater cet émerveillement de se réveiller aux côtés d’une amante ou d’un amant. Nous refaisons l’amour. Cette fois, c’est moi qui la prends en missionnaire, lentement, en faisant durer autant que possible, en mignotant sa belle poitrine, en grignotant ses bouts de seins au point de la faire gémir, jusqu’à l’orgasme qui nous surprend ensemble. Encore un petit somme, et puis : — Fred, il faudrait que j’aille chez moi…— Ah oui, le chat…— Non, dit-elle en riant, ne vous inquiétez pas pour lui, il a tout ce qu’il lui faut, mais ...
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