Marie-Laure
Datte: 06/09/2017,
Catégories:
fh,
couple,
Oral
pénétratio,
fouetfesse,
init,
Collègues / Travail
... Bon. Ben à votre tour, que proposez-vous ? Je lui tire la langue en l’agitant frénétiquement. Elle se met à rire, au moins j’ai détendu l’atmosphère. — Que voulez-vous dire ?— Allongez-vous et faites-moi confiance. Ne pourriez-vous enlever cette nuisette ?— Voilà.— Je soulève un peu vos cuisses en les écartant légèrement et je viens brouter votre toison intime, comme cela.— Oh, mais c’est très cochon, encore avez-vous la chance que je sorte de la douche, et que faites-vous, là, dans mon vagin, avec cette grosse langue et attention ! Pas là, c’est très sensible, non pas là, ah ! ah ! C’est trop bon ça, mais vous êtes diabolique, ah ! Arrêtez ! Fred, arrêtez ! Je vais jouir, je jouis, ah que c’est bon, arrêtez, vous me tuez… Petite pause pour la laisser souffler, j’ai le museau trempé, elle m’a envoyé au nez un petit geyser. J’hésite à aller l’embrasser et lui faire goûter son propre sirop, je me dis que c’est prématuré. Je la tourne doucement sur son côté droit, en chien de fusil, et là, après lui avoir laissé le temps de retrouver son souffle, je me place en cuiller derrière elle et m’introduis doucement dans sa vulve onctueuse. Après quelques mouvements alternés de ma part, qu’elle accompagne bien volontiers : — Ah ! Mais c’est bon, ça encore, c’est bon, vous me faites du bien. Oui, oui, ne vous arrêtez pas. Allez, plus fort, encore plus fort, ça vient, je sens que ça vient, allez ! Oui ! Je jouis encore ! Ah que c’est bon… Nous n’irons pas beaucoup plus loin cette ...
... nuit-là. En ce qui me concerne, je n’ai plus la réactivité de mes vingt ans ; en ce qui la concerne, il faut absolument que nous fassions le point sur ce qu’elle sait et ce qu’elle ignore des jeux amoureux les plus courants. — Fred, j’aimerais savoir pourquoi vous avez divorcé, vous voulez bien m’en parler ?— C’est un sujet pénible, Milo, je veux bien en parler un peu, mais à la condition que vous me disiez, vous aussi, quelques mots sur votre passé.— Oh, en ce qui me concerne, c’est très simple, je me suis amourachée, comme une oie blanche, à dix-neuf ans, d’un type qui me semblait honnête. En fait c’était un mystique, je ne l’ai compris que tardivement, il a d’ailleurs disparu dans un couvent.— Il vous a fait des enfants ?— Oui, une fille, qui est maintenant heureuse en ménage avec deux enfants. À vous !— Eh bien moi, j’ai eu la malchance de ne pas détecter à temps la nymphomanie que cachait mon épouse, qu’elle a soigné à coup d’infidélités innombrables dont j’ai fini par me lasser.— Ah ? Vous ne parveniez pas à la satisfaire ?— On peut le penser. Bien sûr, quand j’en ai pris conscience, mon ego n’était pas à son aise. Mais avec les années, les entretiens avec le monde médical, il me semble qu’elle souffre d’une forme de névrose. Mais parlons d’autre chose.— Excusez-moi.— Je vous en prie. Il est bien normal que vous vous informiez sur mon passé. D’ailleurs, j’ai moi aussi des questions qui me démangent : votre goût pour une certaine forme de fessée érotique, par exemple, comment ...