Room service
Datte: 17/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
médical,
voyage,
amour,
Oral
pénétratio,
... avec Caroline la nuit, et dans sa propre chambre ? J’arrive dans la mienne, et puis pourquoi un quart d’heure, c’est le temps pour quoi ? Téléphoner chez elle, prendre des nouvelles de la famille ? Non, trop tard elle ne va pas réveiller tout le monde. Prendre une douche alors ? Je me déshabille pour en prendre une, histoire de calmer mon esprit en ébullition. C’est long un quart d’heure. Je me sèche, un peu de déo, d’eau de toilette, je me rhabille sauf les chaussettes, je reste pieds nus. Les minutes s’égrènent lentement. Quand je sors de ma chambre, au moment où je récupère la carte qui sert de clé, je réalise que la chambre de Caroline sera fermée, et je m’imagine mal réveiller tout l’hôtel en tambourinant sur sa porte en pleine nuit. Je récupère mon portable, et me voilà parti pour mon expédition, pieds nus sur l’épaisse moquette du couloir. Pendant le court trajet qui me conduit à sa chambre, les idées se bousculent à toute allure dans ma tête, j’essaie d’imaginer la suite de la soirée, si elle m’attend sagement vêtue comme pendant le repas, ou bien nue sous son peignoir, ou bien… « Du calme me souffle une voix off,tu t’emballes… » J’ai prévu de lui envoyer un texto du genre « Je suis devant ta porte » mais inutile : celle-ci est juste entrouverte. Je la pousse le cœur battant, plus ému que je ne le voudrais. L’entrée est plongée dans la pénombre, seule une faible lueur provient de la chambre. Je m’approche doucement, et c’est là que je reçois l’équivalent d’un coup de ...
... poing dans le ventre. La seule lumière de la pièce vient des deux lampes de chevet, des deux côtés du grand lit, et sur ce lit, la belle, la sublime, l’inaccessible Caroline est allongée nue, absolument nue, sans même une serviette posée sur les fesses comme dans les thalassos et autres instituts de beauté. Sidéré, je contemple ce que j’ai tant de fois imaginé : des cuisses pleines, un creux des reins où je rêve de poser ma bouche, une croupe adorablement rebondie avec une discrète marque de maillot qui la fait apparaitre plus blanche que le reste de son corps, un dos et une nuque parfaits. Elle a attaché ses cheveux sur le sommet de son crâne à l’aide d’une pince que les filles utilisent pour la douche. Les yeux un peu mieux accoutumés à la faible lumière, je découvre qu’elle a placé sur ses yeux un masque de tissu noir, de ceux qu’on distribue dans les avions pour se protéger de la lumière. Sa tête est tournée vers moi, elle se soulève un peu. — Qu’est-ce que c’est ? dit-elle d’une voix à peine audible. Toujours un peu sonné par ce qui se passe, je cherche un petit moment quoi répondre : — Room-service Madame, le massage. Je ne la quitte pas des yeux, elle hoche doucement la tête. Elle a bien sûr reconnu ma voix mais n’en montre rien. Un de ses bras s’allonge en direction de la table de nuit où est posé un flacon que je recueille. C’est du lait pour le corps. Elle veut vraiment un massage, ce qui n’est pas pour me déplaire, de même que je trouve très érotique le fait de ne ...