Room service
Datte: 17/09/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
médical,
voyage,
amour,
Oral
pénétratio,
... pas savoir jusqu’où elle veut jouer. Elle est allongée les bras en croix au beau milieu du grand lit sur une grande serviette de bain. Il va falloir que je grimpe sur le matelas pour la masser. Je décide de me débarrasser de mon jeans et de ma chemise qui échouent sur l’épaisse moquette, puis je m’empare du flacon. Le devant de mon boxer est sérieusement tendu avant même que je ne la touche. Je grimpe sur le lit pour m’agenouiller au-dessus du corps qui ne m’appartient pas encore, mais que j’ai l’autorisation non-dite de parcourir de mes mains. Mes jambes effleurent à peine ses flancs, j’ai mis une bonne dose de crème dans le creux de mes paumes avant de les poser sur ses épaules. Je débute mon massage en guettant sa réaction à mes mains posées sur sa peau nue. Le léger sourire que je lui connais flotte sur sa bouche, Joconde plus dénudée que celle du Louvre, et surtout bien plus vivante. J’essaie vraiment de la relaxer au maximum en alternant les palpations des muscles qui se détendent sous mes doigts avec des effleurements plus sensuels. Elle joue parfaitement le jeu en se laissant aller, elle tourne la tête d’un côté puis de l’autre, se laisse croiser les bras et placer ses mains derrière sa tête pour me laisser les caresser à ma guise. Je tâche de résister au mieux au désir qui me taraude d’arracher mon boxer, de lui faire sentir mon sexe tendu contre ses fesses avant de la retourner et de… Mais je patiente et descends plus bas sur le lit pour glisser mes mains le long ...
... de son dos. Je ne vais pas plus bas que le creux de ses reins, je ne suis pas encore assez hardi pour saisir ses fesses à pleines mains, je glisse le long de ses hanches et me place sur le côté du lit pour m’occuper de ses jambes. Quel que soit l’endroit de son corps où je la touche, j’adore sa peau. D’abord les jambes, puis les pieds, l’un après l’autre, important les pieds ! Je prends mon temps pour en masser la plante puis les orteils, un par un. Ce n’est qu’ensuite que je m’aventure vers ses cuisses et son adorable postérieur, sans vraiment croire ce qui se passe. Si quelqu’un m’avait dit ce matin que je finirais la soirée comme ça, je lui aurais immédiatement conseillé d’aller se faire soigner. C’est de moins en moins un massage mais plutôt des caresses. Plus ça va et plus mes gestes deviennent sensuels, pour nous deux j’espère. Je peux palper, caresser ses fesses sans qu’elle ne proteste, mon autre main parcourt ses cuisses encore sagement serrées, avec pour but évident d’atteindre le saint des saints qui se cache entre ses jambes. Petit à petit, en alternant caresses et frôlements j’arrive à mes fins. Je sens une infime détente, mes doigts se glissent sans peine dans l’entrebâillement qui se fait. J’évite de me précipiter, je fais durer le plaisir. Je reviens sur ses fesses fermes que je pétris, malaxe avec bonheur, je réprime l’envie de faire sonner quelques claques sonores sur sa peau nue, je ne sais pas si elle le prendrait bien. Je les effleure, les écarte un peu, ...