1. Carine manipulatrice


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, hagé, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, confession, humour,

    ... J’enlève deux boutons à mon tailleur, et je fais des effets de gorge. On peut apercevoir une bonne partie de mon soutien-gorge et ce qu’il contient. Comme toujours en public, Steven essaie de rester stoïque. Plus il reste imperturbable et plus je m’excite. Si Steven ne réagit pas, le serveur, lui, réagit : toutes les deux minutes, il passe à côté de notre table pour voir si nous ne manquons de rien. J’en ai le slip trempé. Il est vrai que j’ai été plutôt calme depuis lundi. Nous payons l’addition, et au moment de partir, je file aux toilettes. Je ne rentre même pas dans une cabine, je retrousse un peu ma jupe et enlève mon slip mouillé. Je m’essuie un peu la chatte avec, mais cela ne sert à qu’à me stimuler encore plus. Je ressors avec celui-ci dans mon sac à main. Steven m’attend sur le trottoir. Je prends son bras, mets la tête sur son épaule et l’entraîne vers le parc en face du boulot en lui disant que j’ai besoin d’une balade romantique. Il fait beau. Le parc est assez grand, mais nous y croisons beaucoup de promeneurs. Je passe régulièrement ma main sur ses fesses. Il a toujours l’air un peu gêné, mais ne proteste pas. Régulièrement, je lui barre la route et nous nous embrassons. Sagement pour lui, moins sagement pour moi. Ses mains ne se sont jamais posées plus bas que la ceinture de ma jupe. Le vent est moins sage, je le sens passer par à-coups sous elle et venir caresser mon abricot qui coule toujours autant. Je vais finir par tacher ma jupe. Je pense que certains ...
    ... passants se rendent compte de mon état. Ma veste de tailleur est toujours à moitié ouverte. Le chemin tourne, nous arrivons dans un sous-bois ombragé où il n’y a personne sauf un couple loin devant nous. Derrière, on ne nous voit plus et je sais que les prochains promeneurs ne seront pas là avant quelques minutes. Je lui barre la route, il m’embrasse à nouveau. Je lui prends les mains sur mes hanches et les passe devant sous ma jupe. Il ouvre grand les yeux. S’affole un peu, regarde autour de nous, puis reprend son exploration. Il m’en faut plus, je vais exploser. Je prends une de ses mains, la place dans mon décolleté, prends l’autre et l’utilise pour me masturber. Je crie mon plaisir en trente secondes. Vite, je rabaisse ma jupe, et nous reprenons la promenade alors que les promeneurs arrivent derrière nous. Ils marchent plus vite et nous dépassent. J’ouvre complètement ma veste. J’enlève mon soutien-gorge tout en marchant. Je le place dans mon sac. Je reste la veste déboutonnée. Tant que personne ne se retourne… Je passe ma main sur la protubérance qui garnit maintenant le bas-ventre de ma victime. Je le masse en surveillant toujours de temps à autre nos arrières. Nous nous sommes suffisamment laissés distancer. — Tu paries que je le fais en cinq fois ? Si je gagne, tu fais mon gage.— ?— Qui ne dit mot consent… Je l’entraîne derrière un buisson. Nous ne sommes visibles que si quelqu’un fait attention juste en passant en face de nous sur la route, et il n’a qu’un ou deux ...
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