1. Carine manipulatrice


    Datte: 18/09/2019, Catégories: fh, hagé, jeunes, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral pénétratio, confession, humour,

    ... mètres pour tourner la tête et nous voir. Je sors la hampe de Steven, je m’accroupis devant lui, j’écarte ma veste afin que ma poitrine soit bien apparente. Je commence par lui lécher le gland, je titille le frein avec ma langue, puis je m’empale sur sa queue au point d’avoir des haut-le-cœur. Ma langue joue la toupille, je recule en aspirant bien convenablement. Une fois ressortie de ma bouche, je lui lèche les couilles, les suce l’une après l’autre. Je ré-empale ma bouche sur son pieu, je ne joue plus, il palpite déjà. Je fais coulisser ma tête en continuant ma succion. Trois, quatre et cinq, ça y est, il vient au fond de ma gorge. J’aime de plus en plus avaler. Je suis folle. Je me relève, le regard brillant : — En cinq allers-retours, tu t’es vidé. Maintenant, tu me dois un gage…— Mais je ne…— Tuuuut ! Quand on a perdu on paie. J’enlève ma veste pour ne pas la salir, la suspend. Je retrousse ma jupe sur mes hanches. Le tirant par la queue, je me plie en deux, m’accroche à un arbre et je me l’introduis en levrette. Steven met un certain temps à se mettre en branle. Je sens dans mon tréfonds ses coups de boutoir. Cela me fait du bien, j’en avais besoin. Steven continue comme un métronome, je pense qu’il est stressé par l’endroit. Tant mieux, il durera plus longtemps. Je commence à gémir. C’est bon. Mon Dieu, faites qu’il ne me lâche pas maintenant, que j’aie le temps d’en profiter. Il me ramone de plus en plus vite, son ventre claque contre mes fesses. Mon gémissement ...
    ... devient continu. Steven commence à pousser des cris aussi. Il m’arrose l’intérieur style lance d’incendie à pleine pression. Cela me déclenche la jouissance aussi. Je hurle mon plaisir, je sais pourquoi je suis sur terre. Je suis sur les rotules. Un jeune couple est arrêté sur la route et regarde par ici. Quand ils se voient repérés, ils se remettent en marche. Steven a l’air en morceaux aussi. Tant mieux, je poursuis mon plan. Nous nous réajustons convenablement et, main dans la main, nous rentrons. Durant le trajet en bus, sous-vêtements dans le sac, j’écarte les cuisses en face de lui, je déboutonne ma veste, caresse un téton, puis la referme. On dirait un lapin affolé, il regarde paniqué de tous côtés pour voir s’il y a d’autres personnes qui remarquent notre jeu. Dans les escaliers du métro, je passe ma main entre ses jambes. Cela réagit bien. Dans le métro, toutes les places assises sont prises, mais il n’est pas bondé et il y a de la place debout. Malgré cela, et malgré les regards courroucés de deux mégères, je m’accroche à la même barre que lui et me frotte littéralement contre lui. Il est 16 h 30 quand nous arrivons à l’immeuble, bien excités tous les deux. Je le tripote encore dans l’escalier, il faut bien recharger la bête. À partir du deuxième, j’ai abandonné veste et jupe, je termine mon escalade nue. Steven me suit avec la bite à l’air, raide, et mes vêtements en mains. J’ouvre la porte, achève de le déshabiller totalement dans le hall et l’entraîne direct dans la ...
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