1. Ça c’est passé simplement 3


    Datte: 18/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    Jeudi 9 mai 1985 Le lundi matin, le rituel avait repris ses droits, avec peut-être un petit sourire de Mireille, mais j’ai de l’imagination. Et le soir avant de partir je prenais note du planning de Mireille des fois que nos routes au cours de la semaine se croiseraient. Seule une journée montrait que le jeudi j’arriverais le soir à Guéret, pour en repartir le matin direction Aubusson. Par contre Mireille serait elle aussi au secteur de Guéret, mais arrivant le matin vers 10,00 heures. En effet venant de Limoges, elle ne couchait pas sur place, pouvant faire l’aller et retour dans la journée. Ainsi le jeudi, comme tous les soirs de mes tournées, je dinais dans mon coin en face d’un livre. Je venais à peine de commencer quand : « Bonsoir, tu m’invites à diner » Mireille venait d’arriver. « Oui, bien sur assieds-toi, … mais tu as changé ton planning » « Exact, tout le monde sait qu’un planning c’est fait pour évoluer » « T’as des problèmes importants au secteur, car d’habitude tu fais l’aller et retour dans la journée » « Non, tout va bien, je suis ici incognito, … autrement dit, j’ai quitté le bureau en fin de journée comme d’habitude. Par contre, chez moi, j’ai dit qu’il fallait que je sois de bonne heure demain au secteur, il faudra donc que tu ais la gentillesse de m’héberger » « Naturellement pas de problèmes, prends un buffet, ici, il est bon et copieux » J’étais soufflé. Puis continuant notre conversation elle me dit : « Je voulais te voir, et pour te faire plaisir, je ...
    ... suis habillée comme tu aimes, … imagines » Elle était vêtue d’un corsage, qui la moulait bien, (devait être au moins une ou deux tailles en dessous) et d’une jupe droite, serrée. Le maître d’hôtel parti, elle défit un bouton de son corsage, ce qui augmenta son décolleté en laissant apparaître le début du sillon de ses seins. Puis se levant pour aller se servir, elle se pencha tellement en avant que j’eu une vue rapide sur l’intérieur de son décolleté. Surprise, elle ne portait pas de soutien-gorge. La vue de son joli cul se déplaçant vers le buffet n’était pas désagréable, c’est là que j’ai imaginé qu’elle n’avait rien en dessous. Ce qui enclencha certaines idées érotiques, que je refoulais énergiquement. Vu ce qu’elle avait fait jusqu’à présent, elle devait s’attendre à ce que je lui dise, maintenant qu’elle avait un joli cul. Je m’en abstins, peut-être, inconsciemment par calcul. Enfin de repas elle alla chercher un dessert et la voyant, de nouveau, se déplacer vers le buffet, je me fis la réflexion qu’elle avait vraiment un joli cul. Je changeais de tactique. Alors qu’elle s’asseyait, je lui dis : « T’as vraiment un joli cul » « Ah, vraiment, il te plait tant ? T’en as envie ? » « Oui, aux deux questions » « Tu l’auras si tu me fais bien l’amour, que tu me fasses bien jouir, comme la dernière fois. D’abord as-tu envie de moi ? » « Quelle question, c’est une évidence » « Alors dis-le, dis moi que tu as envie de moi, dis moi ce que tu veux faire, ce que tu veux me faire, déjà ...
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