1. Ça c’est passé simplement 3


    Datte: 18/09/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... de l’entendre c’est le début du plaisir », et elle me posa tendrement sa main sur la mienne Moi : « Tu sais très bien que j’ai envie de toi. Tu veux que je te dise ce que j’ai envie de te faire. Ne te fâches pas la première chose, très terre à terre mais essentiellement pratique, tu dois avoir une valise et n’étant pas inscrite, tu peux difficilement te promener avec ta valise et te diriger vers une chambre, on pourrait te poser des questions, donc, je vais aller la chercher, moi je peux. Tu vas m’accompagner à ta voiture et on va vérifier qu’elle est dans un endroit tranquille » « Elle est à coté de la tienne, j’ai fait comme toi, je ne veux pas être accroché » « Bien, en attendant que je revienne d’avoir déposer ta valise, tu t’installeras à l’arrière de ma voiture tu ouvriras ton corsage et tu laissera libre tes seins » « Dehors, comme ça, …pourquoi pas ? et puis » « Dans la voiture, tu remonteras ta jupe, écarteras les jambes pour dégager ton minou » « OOHHH, tu crois ? », mais, sans s’en rendre compte, elle avait déjà le souffle court. « Tu m’as demandé ce que je voulais qu’on fasse. Ça nous rappellera nos flirts des dix huit ans Mais en as-tu envie ? » « Tu ne peux pas me demander ça » « Mais si, et déjà ça t’excite de t’imaginer ainsi. Et si je suis trop long, tu pourras te caresser un peu». Elle avait légèrement crispé sa main sur la mienne. « Tu veux vraiment que, … » « Bien sur, tu aimes ça, tu es sensuelle et je suis persuadé que tu aimes le sexe et tout ce qui ...
    ... l’accompagne et tu te le caches » « Tu n’en sais rien » « Il te faut juste une petite poussée, pour que tu veuilles l’admettre et à cette pensée, tes yeux brillent et tes seins vont percer ton corsage, alors, … » « Mais pourquoi je t’écoute, … Personne ne t’a jamais dit que tu étais un salopard ? » « Viens, on s’en va, je vais m’occuper de ta valise et ensuite je m’occuperais de tes appâts » Et nous partîmes vers le parking. Effectivement sa voiture était à coté de la mienne, dans le fond sombre du parking. Arrivé sur place, elle se laissa pousser contre la voiture et l’ayant enlacé, je collais mes lèves contre les siennes, il y eut un dixième de seconde d’hésitation, mais ses lèvres s’entrouvrirent et nos langues se trouvèrent et s’enlacèrent, alors que nos corps se collaient, l’étreinte fut rapide et violente. Elle ouvrit son coffre et se penchant pour prendre sa valise son joli cul fut à l’honneur, je me retins de lui caresser les fesses, ce geste ayant pu être considéré comme grivois à la limite de la grossièreté. Prenant la valise, je lui dis : « Dans moins de cinq minutes je suis de retour » Je revenais quelques minutes après ayant pris mon temps, de façon à lui laisser le temps de se convaincre que l’envie d’ouvrir son corsage et de remonter sa jupe fut plus forte que son propre qu’en dira soit. A mon arrivée, elle n’était pas dans la voiture, par contre, elle s’était installée entre les deux voitures, et malgré le peu de clarté, je vis que ses seins étaient libres de ...