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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (1/14)
Datte: 06/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les femmes,
... de son pantalon et semble se laver la chatte. J’en ai confirmation quand elle rince le gant et qu’elle recommence l’opération. Elle sort du coffre un vêtement à manches longues et enlève rapidement son débardeur me montrant ses jolis seins même s’ils sont éloignés et met un vêtement à manches longues. J’avais entendu dire que des personnes et même des femmes vivaient dans leur voiture, j’en ai confirmation en ayant une devant les yeux. Je redémarre et je m’avance jusqu’à elle. • Bonjour mademoiselle, vous m’excusez d’avoir joué les voyeurs, mais vos gestes m’ont intrigué. Je pense que vous êtes dans une situation difficile, puis-je vous proposez de venir prendre une douche chez moi, mon mari est absent et vous pourrez prendre tout votre temps, j’habite à cinq minutes en voiture. • Je vous remercie, mais je vais me débrouiller seule, j’ai pris l’habitude depuis ces derniers mois que je suis en galère. Même ma voiture me lâche, elle refuse de m’emmener plus loin, alors vous pensez jusque chez vous. J’ouvre la portière à mon côté. • Venez, nous ferons le nécessaire depuis chez moi, j’habite à Lésigny. • Je vous suis, mais vous savez, je sens le fennec et je vais empester votre voiture. • Allez, on évite les chichis, nous sommes entre femme et je vous promets d’éviter de vous violer. Elle ferme son coffre et monte dans ma voiture. Arrivé, je déclenche l’ouverture de la porte automatique. • Vous avez une belle maison, je rêve d’avoir la même, mais cela restera un rêve. Vous devez ...
... avoir une bonne situation. • Je suis professeur de Français à la faculté de Vincennes et mon mari est un industriel, il est parti huit jours aux USA pour signer un gros contrat qui va nous mettre à l’abri des soucis jusqu’à la fin de notre vie. • Veux pieu, moi aussi il y a quelques mois, j’étais sûr d’être à l’abri, mais quand ma patronne m’a licencié pour faute grave après une cabale qu’elle m’a montée, je le suis retrouvée chômeuse sans indemnité. Cette salope a présenté un témoin qui a certifié m’avoir vu la frapper alors que j’étais en colère. • C’est dégueulasse, il faut lui couper les couilles, mon mari sait se tenir avec son personnel lui. Bien sûr, c’est une patronne, c’est plus difficile. Une fois garé je l’entraîne vers la maison. • On se tutoie, ce sera moins solennel. Tu veux un café avant d’aller à la salle de bain. • Si cela est possible plus vite, je sentirais de l’eau sur tout mon corps et mieux je serais. • Alors suis-moi à l’étage, tu vas prendre un bon bain, je vais te le préparer avec des sels qui embaumeront ta peau. • Pas de chichi, c’est déjà gentille que tu m’aies fait cette proposition. • Alors, je monte tout préparer, suis-moi. Je remplis la baignoire et je prépare un peignoir d’ami pour qu’elle l’enfile. Je l’ai fait monter et je sors pudiquement de la salle pendant qu’elle se déshabille. Je veux éviter qu’elle pense que je suis une maniaque des culs féminins prêts à tous pour lui gober le vagin comme j’aimais le faire à Emmanuelle, il y a quelques ...