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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (1/14)
Datte: 06/09/2017, Catégories: Entre-nous, Les femmes,
... années. Dès que j’entends, quelle barbotte je frappe et entre prendre ses affaires qu’en bonne ménagère, j’amène dans ma salle de linge où je les place dans la machine à laver que je démarre. J’ai un léger trouble à manipuler sa petite culotte qui doit attendre son tour, car les textiles sont incompatibles. Les premiers coups de tonnerre d’un deuxième orage encore éloigné se font entendre. J’ai peur, mais la présence de mon invité dont le prénom m’est inconnu me calme un peu. Je remonte et je passe la tête, elle est debout et se rince me permettant de voir sa plastique parfaite. • Je m’appelle Juliette et toi s’il te plait. • Nous sommes bêtes, je te fais voir mon cul, mais j’oublie de te dire que je m’appelle Angélique. • Je descends, rejoins-moi dans la salle, je vais apporter le café. Un éclair vite suivi dix secondes après par un coup de tonnerre illumine la pièce. Je suis effrayé, mais j’arrive à préparer le café que je pose avec le sucre et du lait sur la table du salon. C’est quand je pose l’ensemble qu’Angélique arrive les pans du peignoir assez entrebâiller pour que je puisse admirer la ligne de ses seins. Elle arrive à mon côté alors que j’allais m’asseoir pour remplir les tasses quand un éclair, un halo vert et le tonnerre entremêlé frappe à la hauteur de la ...
... maison. Un grand craquement se fait entendre alors qu’en moins de temps qu’il n’en faut, je me suis réfugié dans les bras de mon invitée. Elle me reçoit avec plaisir, semble-t-il alors qu’elle pourrait me relâcher, c’est fermement qu’elle me tient m’empêchant de m’échapper. Je connais le goût des lèvres d’une fille sur les miens et c’est avec plaisir que je les reçois surtout qu’elles sont suaves et que j’aime. Le coup de tonnerre qui suit, moins fort me fait l’entraîner sur le sofa qui apprécie de nous recevoir et c’est sans problème qu’elle quitte mes lèvres pour m’ouvrir le chemisier et après l’avoir sortie lèche et mordille le premier de mes seins qui est à sa portée. Est-ce la peur ou l’envie qui font que le reste de mes vêtements s’envole sans que je m’en aperçoive et que nue, sa bouche descende jusqu’à ma fourche qui s’écarte pour la recevoir. Dans le kama sutra mon clito est souvent sollicité, mais le plaisir qu’Angélique me procure me transforme en chienne lubrique qui en veut toujours plus. Ses doigts sa bouche vont de ma chatte à mon anus sans s’arrêter. L’orgasme qui me dévaste a d’égal à tout ce que j’ai connu avant ce jour qu’il coïncide avec une troisième vague d’orage qui succède à la précédente et qui frappe très prêt me tétanisant par le plaisir qui m’est apporté…