Fin d'un conte
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
h,
hh,
Collègues / Travail
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
attache,
yeuxbandés,
glaçon,
ecriv_f,
... de nibards ? Karl, Etienne et moi fûmes tout d’abord extrêmement surpris par son attitude. J’envisageai de protester lorsqu’Etienne lança : — Elle est effectivement bonne de l’extérieur, mais faudrait qu’on teste pour te dire si elle en vaut vraiment le coup. Et puis, pour nos futures affaires, ce serait un gros plus. Surtout si elle était TRÈS, TRÈS gentille avec nous. Qu’est ce que tu en penses, Karl ?— Tout à fait d’accord avec toi Etienne…— Bon, j’étais sûr qu’une gâterie comme Julie vous plairait, renchérit Pierre. Puis se retournant vers moi : — Tu vas les gâter ? N’est-ce pas ma chérie ? Ça m’aiderait beaucoup pour mes affaires et puis tu me dois bien cela, non ? Complètement abasourdie je n’arrivai pas à articuler une réponse. Tout s’embrouillait dans ma tête. Ces hommes étaient, ma foi, séduisants. Si j’aidais Pierre dans ses affaires, je ne lui serais plus redevable de quoi que ce soit. Je choisis par un petit signe de tête de me soumettre à la volonté de mon futur beau père… Satisfait de mon choix, Pierre prit les choses en main. Il installa une petite table ronde au milieu de la salle et me demanda d’y prendre position à quatre pattes. Me voyant m’exécuter, Karl m’arrêta et, se tournant vers Pierre lui demanda : — Tu permets qu’on dirige la manœuvre ?— Pas de problème, elle est à vous. Karl et Etienne me demandèrent alors d’enlever ma jupe et mon chemisier. Ils applaudirent et sifflèrent lorsqu’ils virent ma guêpière et surtout mon string qui ne cachait rien. ...
... Puis, très prévenant, Etienne m’aida à monter sur la table. Je me plaçai tant bien que mal à quatre pattes sur cet espace des plus restreints. Exposée ainsi devant ces trois mâles, je ne faisais pas la fière. Pierre resta un peu en arrière. Vraisemblablement, il se donnait un rôle de voyeur. Les deux autres tournèrent autour de moi, me regardant sous toutes les coutures, puis Karl me demanda de sortir mes seins des bonnets et d’écarter au maximum les jambes. Je m’exécutai. Etienne s’éloigna et récupéra dans sa mallette des morceaux de tissu. En revenant vers moi, je m’aperçus que c’était des cravates. Il s’en servit pour m’attacher les chevilles et les poignets aux pieds de la table. La dernière cravate fut utilisée pour me bander les yeux. J’étais maintenant à leur merci. Mon ouïe tenta désespérément de capter le moindre son, mais c’était le silence complet. Que manigançaient-ils ? J’attendis avec une certaine angoisse le moment où ils me sauteraient dessus, quand je ressentis une sorte d’effleurement au niveau de mon téton droit. Était-ce un courant d’air ou bien quelqu’un m’avait-il véritablement touché ? Ça y est, ça recommençait. Non, c’est sûr, me dis-je, quelqu’un me caressait le sein, mais avec une délicatesse toute particulière. Je ressentis rapidement des picotements dans tout le corps. Ce fut maintenant au tour du sein gauche. Aaaah ! Que c’était bon. J’avais envie de me les toucher moi aussi, mais j’avais les mains liées. Je frissonnai de plaisir. Les caresses lentes ...