Fin d'un conte
Datte: 18/09/2019,
Catégories:
h,
hh,
Collègues / Travail
Transexuels
Oral
hdanus,
hsodo,
attache,
yeuxbandés,
glaçon,
ecriv_f,
... perdait pas une miette du spectacle. Apparemment, lui aussi s’était mis à se masturber. Qu’importe, je n’allais pas m’arrêter pour si peu, d’autant que je ne pouvais toujours pas avancer. Plus rien n’existait autour de moi, seul mon plaisir comptait. Je ne mis pas longtemps à atteindre l’orgasme. Une vague de chaleur me submergea et je laissai échapper un cri de plaisir qui ne fut entendu de personne. Incroyable comme ce fût bon. J’en étais à la fois toute chamboulée et toute surprise. C’était divin. Le routier leva le pouce dans ma direction pour me signifier que cela lui avait bien plu. Je remis immédiatement ma jupe en place, un peu honteuse de m’être exhibée de la sorte. Enfin la route se dégagea, et je pus arriver sans trop de retard au boulot. Heureusement, sinon j’aurais bien aimé renouveler l’expérience une seconde fois ! Le reste de la matinée fut consacré aux préparatifs de la fête. Vers midi, les investisseurs arrivèrent. C’étaient deux hommes de l’âge de Pierre (sans mauvais jeu de mot) habillés, comme tout homme important, de l’éternel costard cravate sombre. Je les acheminai directement dans la salle de réunion où Pierre vint les rejoindre rapidement. Je les laissai ensemble et retournai à mon bureau. Au bout d’un quart d’heure, mon téléphone sonna. Pierre me demandait de les rejoindre. J’accourus. Les trois hommes étaient regroupés autour du buffet, les mains dans les plateaux du traiteur. Apparemment la réunion était déjà terminée. — Julie, viens par ici que ...
... je te présente mes deux compères. Voici Etienne Després, PDG de M… et Karl Dick administrateur de T…— Enchantée Messieurs, dis-je en leur serrant la main.— Voici Julie, ma bonne à tout faire ici. Non, je plaisante. Elle est essentielle au bon fonctionnement de la société et ne rechigne pas au travail. Karl me déshabilla des yeux et ajouta d’un air entendu : — Nous n’en doutons pas une seconde…— Bien ! Julie, apporte-nous du champagne et viens trinquer avec nous. Bon, me dis-je. Me voilà reléguée au niveau potiche. Tout en servant le champagne, je me consolai en me disant qu’après cette petite sauterie, j’en ferais une sûrement plus physique avec Pierre. Je me demandai d’ailleurs ce qu’il me réservait. Nous discutâmes boulot une dizaine de minutes, avant que la conversation devienne plus légère. Avec l’alcool, elle vira rapidement au graveleux. Pierre semblait le premier à encourager ses partenaires sur ce terrain. Mon verre semblait un puits sans fond. À peine était-il terminé qu’il se retrouvait plein à nouveau. Des bouffées de chaleur commencèrent à m’envahir… L’épisode de ce matin me revint à l’esprit et j’en mouillai rien que d’y repenser. Aussi, je me pris au jeu et devins très mielleuse dans la conversation. En fait, je me mis à les allumer sans retenue. L’ivresse et l’envie de chacun nous firent complètement déraper… — Vous avez remarqué comme elle est bonne, ma Julie. Pierre m’attrapa et me retourna. — Regardez ce cul ! Puis en me faisant tournoyer : — Et cette paire ...