1. Fin d'un conte


    Datte: 18/09/2019, Catégories: h, hh, Collègues / Travail Transexuels Oral hdanus, hsodo, attache, yeuxbandés, glaçon, ecriv_f,

    ... mon anus réfrigéré. Le liquide brûlant se répandit dans mon ventre et accompagna mon premier orgasme. Mon corps frissonna et se crispa tandis que des petits cris d’animal blessé tentèrent de sortir de ma gorge. Ils furent étouffés par la bite d’Étienne. Ce dernier était increvable. J’avais beau le sucer comme une folle, il ne voulait rien lâcher. Je fus heureuse d’entendre Karl lui proposer d’échanger les positions. Je pris ainsi la tige de Karl dans la bouche pendant qu’Etienne choisissait de m’honorer le vagin. Après m’avoir limée pendant plusieurs minutes, il éjacula puissamment, tapissant de sa semence brûlante l’ensemble des parois de mon organe. Avec synchronisme parfait, Karl se répandit dans ma bouche dans un jet d’une telle violence que j’eus de la peine à contrôler un réflexe vomitif. Leur affaire terminée, les deux hommes se rhabillèrent et rejoignirent Pierre. Ils se désaltérèrent au champagne et discutèrent de leurs "exploits". Le petit groupe me rejoignit ensuite et Pierre me lança : — C’est très bien ma grande, tu as satisfait mes amis au-delà de leurs espérances…N’est-ce pas messieurs ? Etienne me libéra de mes liens et Karl m’aida à descendre de la table. J’étais ...
    ... heureuse. Finalement, cela avait été plus qu’agréable et cela n’avait pas été très long. Je restai un moment allongée par terre, épuisée. Pierre vint m’aider à me relever. Quand je fus debout, je sentis un flot de sperme ruisseler le long de mes fesses et de mes cuisses. J’avais l’impression de faire sur moi, mais je ne pouvais rien faire pour stopper le flux, tant mes orifices étaient dilatés. Mon string perle avait disparu. De toute manière, il n’aurait pas empêché grand-chose de couler… — Dis-moi tu as aimé au moins ? Me lança Pierre. En tous les cas, j’ai pensé que cela te ferait plaisir avant que tu deviennes la femme sage et fidèle de mon fils. Nous nous sommes bien amusés, mais mon fils se doit d’avoir une bonne épouse. Je te laisserai donc tranquille et te considérerai comme ma belle-fille et non plus ma maîtresse. Allez viens, je te ramène à la maison. Tu pourras prendre une douche et te reposer avant qu’Alain ne rentre. Je suivis Pierre comme un automate, les jambes tremblantes, dégoulinante de sperme… Ainsi, comme toute bonne fin de conte de fées, nous nous mariâmes Alain et moi, deux semaines plus tard. Nous n’eûmes pas d’enfants, mais par contre, nous vécûmes heureux… FIN 
«12...5678»