Ashram Shambala
Datte: 24/06/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... sont la tête en bas, suspendues par les pieds, d'autres encore moins chanceuses d'avoir une opulente poitrine sont accrochées au plafond par celle-ci. Elles se font fouetter sauvagement sans aucune retenue, le sang gicle. Cette fois-ci, je n'attendrais même pas la permission de mon maître, je m'empressais de défaire la ceinture de la robe de chambre. Mon mentor émit un léger bruit désapprobateur, je me retournais vers lui en m'inquiétant « je suis censé regarder seulement? ». « - Non, bien sûr, tu vas pouvoir en croquer. Mais pas comme ça, n'importe comment... Qu'allais-tu faire là présentement? ». C'est vrai que je n'avais pas réfléchi à la question, une fois ma bite sortie, je me serais laissé guider par elle. Un peu hagard, je lui demandai « Que dois-je faire? ». Il me dit de me calmer, ce qui m'énerva. Puis il me dit que je devais être baptisé, reçu cérémonialement par la « communauté du bonheur ». Il fit alors un signe au groupe de filles en proie aux activités saphiques. Deux d'entre elles accoururent vers nous. La blonde des deux était vraiment très souriante et d'aspect très candide, mon mentor lui parla en Russe et elle se retourna vers moi, admirative : « Tu es Français? Ca manque par ici... J'adore la France! » . Je lui souris bêtement, je pensais : « J'espère surtout que t'aimes la saucisse française... » (d'autant qu'elle est si petite que mon sexe bandé n'est pas loin de lui toucher le menton). Mon mentor me fait un signe d'assentiment, je me défais du peignoir ...
... et pointe ma queue qui n'en peut plus de toute cette excitation. Cette pétasse me sourit béatement et se penche pour commencer à lécher mon chibre. Je dois me contenir sacrément pour ne pas me laisser aller à lui mettre tout de suite au fond et éjaculer en vitesse. Cette blonde que je trouvais assez peu appétissante (le genre que l'on voudrait surtout punir) se révèle être une excellente suceuse, elle n'oublie pas de me stimuler le moindre recoin de peau de mes chairs intimes, elle est vive tout en étant délicate. Elle semble synchroniser ses mouvements avec celle de l'érotique musique lounge oriental. Sa pipe devint même hautement prodigieuse lorsqu'elle commença à me prendre en bouche jusqu'aux couilles qu'elle léchait avec malice. Je croyais qu'elle atteignait le must, mais la petite poupée Barbie n'avait pas encore sorti son arme fatale... Ce fut bientôt du travail à la Annette Schwarz qu'elle exécuta, elle me prit l'ensemble bite-couilles dans la bouche et me suça le tout en va-et-vient réguliers. C'était vraiment divin, je me sentais enfin comblé, honoré à ma vraie valeur. Cela me faisait pourtant un peu mal, mes couilles étaient tirées au maximum par sa bouche-vantouse assoiffée et cela était d'autant plus douloureux que mes joyeuses n'étaient pas habituées à telle noce. Je me mordais bienôt les lèvres pour ne pas lâcher un râle de douleur au milieu de mes grognements de plaisir. Je me dois de minimiser le talent de ma fellatrice de poche en signalant que l'entreprise ...