1. Ashram Shambala


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... tunnel avec sa bite, quel bonheur! Me disant que personne ne comprenait le français, je me lâchais à proférer à mes deux partenaires toutes sortes d'insultes que l'on n'oserait jamais formuler à quiconque comprendrait, des plus crades aux plus ridicules en passant par les plus improbables, je ne cessais de dire aussi « vous aimez ça, la saucisse française, hein? ». La brune comprenait sans doute à mon ton qu'il y avait une question et me répondait par des espèces de glapissements d'approbation. Je m'arrêtais net lorsque je vis la porte s'ouvrir et Ramona entrer. Je restais figé, la queue ayant même subitement ramollie (ce qui la fit sortir du trou de balle de la blondinette). Non seulement, elle parlait français et il me fallait donc reprendre mes esprits mais surtout je me demandais brusquement qu'est-ce que j'étais en train de faire... Car, après tout, je n'avais que faire de ces deux greluches et de leurs culs et bouches, c'était elle Ramona, que je désirais, seule elle m'importait vraiment, je voulais qu'elle soit à moi mais aussi être à elle. La confusion me gagna, j'aurais voulu rentrer sous terre. Ramona garda son peignoir, elle était venue accompagnée de deux jeunes filles qu'elle tenait en laisse et qui étaient entrées nues à quatre pattes. Elle les montra à mon mentor et s'éclipsa sans m'accorder un regard. Les deux arrivantes au cou entravé étaient magnifiques mais n'étaient pas dans l'ambiance euphorique, des hommes leur sautèrent dessus de part en part et ...
    ... elles semblaient passer un mauvais quart d'heure. Je sentis brusquement comme un serpent se tortiller sur ma couille droite et pris peur. Je me dégageais soudainement, mes deux partenaires me regardaient interdites. C'était tout simplement la langue de la brune que j'avais sentie mais je m'étais tellement coupé de la situation que j'avais totalement oublié celle-ci et la réalité du moment m'était revenue de manière incompréhensible. Pour ne pas perdre la face, je me mis à me branler pour me faire redurcir. Je fis alors signe à la brunette de s'approcher, j'allais juter pour en finir au plus vite de cette situation qui ne me plaisait plus du tout, d'autant que je n'avais qu'une idée en tête : où était Ramona, que faisait-elle? A ce moment-là, un beuglement improbable résonna, un beuglement incroyablement fort puisqu'il avait réussi à couvrir le tumulte général, c'était une jeune blonde à qui on venait d'introduire une bouteille de vodka dans l'anus. La bouteille était introduite jusqu'au bouchon et le jeune homme qui la tenait ne se contenta pas de l'insertion mais pilonna comme un malade le trou du cul cramoisi. Les cris de celle qui était par le verre enculée continuaient de fendre l'atmosphère au-delà des limites pensables couvrant les fouacs obscènes du cadavre de vodka dans son fondement. Lorsque le jeune tortionnaire retira enfin la bouteille un moment, le popotin dangereusement dilaté émit un prout sonore qui fit rire toute l'assistance. Chacun avait un peu délaissé ses ...
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