1. Ashram Shambala


    Datte: 24/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plaintes déchirantes avec le peu d'énergie qui lui restait. Tandis qu'il la pilonnait tranquillement jusqu'aux couilles, notre boss s'était retourné vers moi et le plus naturellement du monde m'exposait ce que j'avais à faire. Il insistait sur le maintien de la condition physique que j'allais travailler avec mon coach personnel. . Il m'expliqua le recrutement, me dit que j'avais jusque là fait preuve de remarquables aptitudes en la matière, que l'on allait me parfaire pour le rôle, que je serai officiellement recruteur et instructeur de portée nationale pour la partie centre de la France. Puis, il cessa de s'exprimer dans son anglais de cuisine et dit quelque chose en Russe qui vraisemblablement nous invitait à quitter les lieux. Nous sortions du bureau où le bourreau poursuivait son office tandis que sa victime semblait de plus en plus faible, dans la dernière image que j'ai eu d'elle avant que mon maître ne ferme la porte, il me semblait voir ses yeux tout blancs sans pupille, je pensais qu'elle était peut-être tombée dans les pommes. Mon mentor, impassible, m'invita à le suivre jusqu'à l'Ashram en lui-même où nous allons festoyer ce soir. Festoyer, festoyer... me dis-je, j'espère qu'il n'est pas seulement question de bouffe... parce qu'avec toutes ces émotions, c'était vraiment un supplice de ne pas pouvoir se vider les couilles. A 100 mètres sur la droite se tenait la fameuse bâtisse dont on trouvait les images sur le net. Ce dont on ne se rendait pas compte sur les ...
    ... photos, c'était qu'il y avait devant celle-ci un immense parking. Un parking d'une centaine de places peuplé par quelques autocars, des rutilantes Benz, des voitures de course, des 4*4 Range Rover et d'autres limousines extra-longues. Tous ces véhicules étaient très bien cachés, aucun angle ne donnait sur eux de la vue, et une toiture les recouvrait, une toiture semblant recouverte de terre se fondant sûrement dans le paysage vu d'en haut. Nous entrâmes, je retrouvais une jeune ukrainienne blonde à l'entrée, je la trouvais toujours aussi vulgaire malgré sa meilleure volonté à se montrer gentille et élégante. Nous étions dans un long corridor sombre empli d'odeurs d'encens. Nous laissions nos chaussures là au milieu de centaines d'autres (minimum, on ne pouvait pas tout dénombrer dans la pénombre). Il y avait aussi différents types de godes alignés sur les bords de la pièce. Nous ôtames nos vêtements pour enfiler des robes de chambre blanches floquées au « S» doré de Sotchidanandana. Nous allions passer la porte de la pièce d'où nous entendions les clameurs et la musique et d'où nous voyions la lumière. A ce moment-là, mon mentor crut bon de me prévenir que j'allais là reconnaître des gens, qu'il fallait bien entendu que je ne manifeste aucun signe particulier envers eux et que je n'évente jamais leur présence ici. Il me prévint aussi que nous pouvions être filmés à tout instant, qu'il y avait en permanence des vidéos tournées de nos fêtes. Des vidéos qu'ils revendaient ensuite ...
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