1. Le complot démasqué


    Datte: 19/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... être aveugle pour ne pas comprendre. La salope de femme mariée qui se laisse mettre à poil par André, l’épouse mal baisée qui vient se faire descendre sa culotte rouge puis sauter dans la chambre du sportif, la grande rouquine qui embrasse goulûment mon copain, c’est Victoire, la fameuse cousine de ma Julie. André debout derrière elle l’offre de face à la caméra. Il n’y a pas d’erreur, c’est elle. Je reconnais la pousse-au-crime qui envoie ma Julie en chirurgie réparatrice. André vient de me préciser son rôle de sergent- recruteur, de fournisseur de chair fraîche. Le soutien-gorge est tombé, les mains viriles montent par-dessous les bras, viennent coiffer deux tout petits seins aux aréoles larges et d’un brun foncé qui tranche avec la pâleur de la peau. Victoire, la cousine de ma femme, la grande prêtresse de « la liberté des femmes à disposer de leur corps sans avoir à rendre de compte à leurs maris », Victoire vient ici prendre sa dose de bonheur et tromper son mari. Je lui reconnais un mérite : elle met ses actes en conformité avec son détestable discours. Julie subit sa néfaste influence. Tout va mal. J’enregistre, plus furieux qu’excité. Victoire se trémousse sous la caresse, les pointes de ses mamelons percent entre les pouces et les index en mouvement. André les roule comme on fait des cigarettes. Contre le fessier agité, le malin pousse son ventre et fait ressortir pour le caméscope au-dessus d’un mont de Vénus plat, le ventre aussi plat de la femme longiligne, ...
    ... nu, sans toison. Victoire au sexe rasé ne se doute pas de la présence de la caméra, ne cherche pas à cacher sa vulve flétrie et ses nymphes hypertrophiées entre des cuisses sèches à la minceur stupéfiante. Entre ces deux colonnes filiformes écartées, éloignées l’une de l’autre, on doit pouvoir placer toute une main à plat. Ses fesses se frottent contre le sexe qui grandit à son contact. C’est une chienne en chaleur. Je vise plus bas, je filme les genoux noueux comme ceux d’un garçon et les tibias longs et les mollets presque sans muscle. Assurément cette femme-là n’a pas besoin de liposuccion. Comment André peut-il s’intéresser à ce tas d’os ? Je filme, je m’arrête encore sur les os des hanches en saillie, je m’attarde sur le dessin prononcé des côtes ou le creux de l’estomac. Je me félicite d’avoir jadis repoussé les avances de cet échalas peu appétissant. Un trou est un trou. A voir Victoire il est permis d’en douter. Mon copain est peu regardant. Je ne lui disputerai pas la salope. André décide de présenter l’autre face, fait accomplir un demi-tour à sa partenaire. Je pourrais compter les vertèbres du haut en bas de la colonne, les omoplates saillent de chaque côté d’un creux. Plus bas deux fesses sèches et sans relief sont prises à pleines mains, un peu relevées pendant que les amants s’embrassent. La tête d’André apparaît au dessus d’une épaule, il m’adresse un clin d’œil. Ses phalanges quittent les fesses, flattent les flancs décharnés, vont se poser sur les épaules en ...
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