1. Le complot démasqué


    Datte: 19/09/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... pointes. Victoire courbe son dos en forme d’arc, éloigne ses pieds et élargit l’angle entre les jambes. Sa chevelure dégage le tronc d’André, descend encore. André appuie sur les épaules : la tête ne cache plus le nombril. La grimace de l’homme annonce la capture de sa verge par la bouche de Victoire. Ah, la position de la suceuse expose le creux sombre de l’anus et le bâillement violacé des petites entre les lèvres de la chatte, quasi inexistantes dont la peau fait parchemin. Victoire pompe, pompe encore. Une main d’André vient accentuer l’écartement du sillon des fesses et des grandes lèvres glabres. Il étale le creux, aplatit la raie du cul, ouvre la rose : Décidément il aura dans son caméscope chaque parcelle du corps de Victoire avec une revue détaillée de ses parties intimes. Toute cette mise en scène me paraît dénuée de sentiment. Et quand André se met à bouger c’est pour me permettre de prendre de profil les deux acteurs engagés dans cette pipe, lui debout, elle courbée en forme de pont. Sa tête avance et recule sur le membre viril tantôt apparent tantôt englouti. Une claque sur une fesse met fin à la fellation. André interpelle Victoire : -Tu oublies que tu es pressée. Alors ne nous attardons pas en préliminaires. Place tes mains sur le matelas, ouvre tes quilles, encore, baisse ton popotin, tu es trop haute à cause de tes talons. Comme ça, tu es à la bonne hauteur. Prête ? André se place de façon à montrer à mon objectif le sexe où il va s’introduire. Ses ...
    ... deux pouces tirent sur les lèvres. Il place deux doigts dans la crevasse rose et luisante, exécute un mouvement de vrille pour pénétrer et se met à les enfoncer et retirer à vive allure. Il masturbe, touille brutalement, va, vient, entre, sort, tournicote, fouille, creuse, c’est une charge sans égards, à la limite du sadisme. Et la grande maigre apprécie cette forme de brutalité. - Oh ! que c’est bon, crie la grande, oui, plus fort ! Mon salaud… oh! André obéit, les doigts décrivent des cercles, excitent les parois, cherchent à augmenter la mouille. Victoire arrondit son dos ou creuse les reins, remue ses fesses, écrase son crâne sur la literie et pousse des gémissements ininterrompus. Le vagin est prêt, l’amant se redresse, me fait un signe de la main, désigne sa lance, s’approche du minou se pose contre les chairs rosies et entre tranquillement dans la place - Oh ! oui, j’aime ta bite. Fourre-moi, baise-moi. Oui. Rrhan, mais vas-y ! Le temps presse. Pas pour André, il est en démonstration, n’oublie pas le caméscope. Il entre à fond, recule et extrait toute la hampe à l’exception du bout du gland, puis il repart en avant, revient avec lenteur. Quand il sort trop il me désigne de l’index le trou noir où il va replonger. Victoire s’énerve, bout : - Mais André, tu traînes. Accélère, prends-moi fort, vite, je veux jouir. Baise, baise ! - Bien, mais d’abord, dis-moi où en est Julie. Hésite-t-elle encore ? - Non, nous l’avons décidée. Le rendez-vous chez le chirurgien est pris. ...
«1...3456»