1. Avec le père de Lucas...


    Datte: 19/09/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... l’eau. Je n’ai pas tiré le rideau de douche pour continuer la conversation. Au bout de quelque secondes sous l’eau chaude, j’ai laissé couler une bonne rasade de gel douche sur ma queue encore plus dure qu’avant et je l’ai massée. J’écoutais d’une oreille ce qu’il me disait en se rasant et lui répondait par bribes de phrases. Je ne l’ai pas vu saisir mon portable. Je n’avais pas quitter le mode caméra avant d’éteindre l’écran, il voyait ma bibliothèque de film, il y voyait sa grosse queue juteuse. Je ne m’en suis pas aperçu, je fermais les yeux en appréciant ce moment de délassement. Je n’ai pas non plus prêté attention quand il s’est mis à fouiller dans un tiroir du meuble sous le lavabo. Peut être cherchait-il une crème hydratante, un déodorant… Je n’ai compris ce qu’il se passait que quand l’eau chaude s’est brusquement arrêtée de couler sur mon visage : - T’as l’air de bien aimer ma queue ! - Hein quoi ? - T’en a déjà vu une plus longue? Ce faisant, il introduisait sa queue lubrifiée dans mon anus. Le passage était difficile, ça faisait mal, son manche est énorme. - T’as besoin d’un vrai mec, toi, hein ! Il enfonçait ses centimètres par pallier, sans me demander mon avis. Il était debout derrière moi et me pénétrait comme ça, en forçant son passage dans ma rondelle. - Ca me fait mal ! - T’aimes filmer ma grosse bite mais tu veux pas te la prendre ? C’est pas correcte ça ! Allé, desserre ton trou ! Ca ne servait à rien de se débattre, il aurait de toutes façon eu ce qu’il ...
    ... voulait. Autant prendre son mal en patience et essayer de tirer du plaisir de ce coït forcé. Les première minutes furent atroces, il m’a littéralement déchiré mon trou quasi vierge avec son mandrin. Je morflais à mort. Il me maintenait fermement en poussant des beuglement rauques. - Alors, tu l’aimes ma queue ? Je me laissais ouvrir par ce vieux vicelard. J’avais déjà goûter à la queue de son fils mais celle là était d’une autre trempe. Ses couilles claquaient contre les miennes. Il m’a pénétré et pénétré encore pendant dix bonnes minutes. J’avais l’impression de me faire niquer par un cheval. Mes genoux ne me portaient plus, j’avais les jambes qui tremblaient. Il m’a fait mettre à quatre pattes, sur le sol. Il restait accroupis derrière mois et m’a embroché à nouveau comme ça, comme un animal allant à la saillie. Il était plus tonique que son fils, plus violent dans ses coups de queue et plus avilissant dans la façon qu'il avait de me pénétrer. Chaque pénétration me faisait savoir qu'il ne me concevait pas comme égal et que je n'avais pas vraiment le choix, je devais le satisfaire. J’avais vraiment l’impression d’être en pleine saillie avec un poney. Je sentais son piercing me taper la prostate. Posté sur ses cuisses musclées, il allait et venait dans mon ventre jusqu’à mon nombril. Excité par la domination, il y allait de plus en plus fort. Je criais de douleur, ça l’excitait encore plus. Il n’arrivait plus à se contrôler et si il avait fait preuve d’un semblant de douceur ...
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