Fantasme souterrain
Datte: 20/09/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
voiture,
train,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
... pas étonnée par la béance obscène de son sexe. Elle avait tellement faim de sexe, d’une bonne bite qui pourrait glisser entre ses chairs et lui procurer les sensations qu’elle aimait. Elle pensa à ouvrir son chemisier, à offrir ses seins à tous ces passagers fatigués qui pourraient s’en régaler. Elle enfonça deux doigts, majeur et annulaire dans la chaleur de sa chatte. Elle gémit. L’expression de son plaisir se dissipa dans le brouhaha de la rame. Le train ralentit, pénétra dans une nouvelle station. Les portes s’ouvrirent, elle sentit l’air chaud glisser sur sa peau, venir agacer sa chatte, effleurer son clitoris. Il y eut du mouvement, changement de passagers. Des bousculades, encore des cris et des soupirs. Elle avait un instant interrompu sa caresse, le temps que le calme revienne. Elle tenta de discerner des visages au-dessus de ces corps. Elle ne vit que des dos, des ventres, des entrejambes désespérément inertes. Pas une bite dressée sous le pantalon d’un propriétaire qui aurait aperçu cette belle femme, en pleine exhibition. Elle vivait son fantasme toute seule au milieu de cette foule. Un homme avait pris place juste devant elle, il se tenait entre ses jambes. Il lisait son journal, il avait tellement fait peu attention à elle que le journal était quasiment posé sur sa tête. Les deux doigts reprirent possession de la grotte humide. Maintenant, elle écartait largement les cuisses et se baisait le plus profondément possible. Tout en se baisant, elle gardait les yeux ...
... rivés sur l’entrejambe de cet inconnu. Il portait un grand manteau bleu marine ouvert sur un costume sombre. Soudain, entre ces plis, elle aperçut une tache plus claire. Elle sourit en apercevant la braguette du type ouverte. Distrait sans doute. Mais la tache bougea, grossit même. Elle comprit, ce qu’elle voyait n’était autre que le sexe de cet homme. Lentement, la bite, comme un être vivant indépendant, sortit de son abri. Elle pendait maintenant en semi-érection. Un bel engin qui lui aurait, en d’autres lieux, donné toute satisfaction. Cette bite, agitée par les soubresauts du train se balançait et devenait de plus en plus dure. Elle se dressait, son gland paraissait énorme. La rame s’arrêta à nouveau, l’homme ne bougea pas. Il se rapprocha même d’elle, poussé par les nouveaux venus. La hampe était maintenant toute raide. Elle était solide, large. À certains moments, à la faveur des éclairages du tunnel, elle la distinguait parfaitement, à d’autres, elle la devinait simplement. Elle gardait ses cuisses largement ouvertes et l’homme sans visage se tenait entre, sa jambe à quelques centimètres de son sexe affamé. Elle avait envie de plaquer son entrejambe sur cette jambe et de s’y frotter jusqu’à l’orgasme. Elle enfonça à nouveau un majeur tendu dans son bas ventre. Elle gardait les yeux sur ce membre. Elle en avait envie, elle avait envie et besoin de le sentir se glisser entre ses chairs accueillantes. Elle faisait coulisser le doigt dans le jus qui jaillissait presque de ...