1. Tes yeux , mon âme


    Datte: 06/09/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, profélève, Collègues / Travail école, amour, revede, pénétratio, init, amourdura, initfh,

    ... avait placé mon plaisir avant le sien. Je tenais toujours sa main, et j’ai remarqué qu’il serrait aussi la mienne. Il accéléra les coups de reins, qui devinrent de plus en plus violents, faisant bouger le bureau. Des cris rauques sortaient de sa poitrine, et il serrait ma main comme jamais. Je sentis que son plaisir était proche, aussi décidai-je de l’accompagner avec mon bassin, allant en sens contraire. Il fut dans un premier temps surpris, puis il me fixa droit dans les yeux et accéléra encore plus la cadence. Au bout de cinq minutes, n’en pouvant plus il céda au plaisir en rejetant la tête en arrière, se répandant en moi. Il s’effondra sur moi, essoufflé, avec un sourire de béatitude sur les lèvres. J’entrelaçai mes doigts dans les siens, savourant le contact de son corps encore agité de soubresauts sur le mien. Mon prof venait de me faire l’amour, et divinement bien. Il se releva et se retira, me caressant les cuisses. Mon corps en réclamait encore, et vibrait sous ses caresses, j’avais l’impression de ne jamais pouvoir être rassasiée de lui. Je peinais à retrouver un semblant de respiration normale, il se rhabilla malgré son érection toujours vaillante. En me relevant, je fixais cette bosse désormais cachée avec regret. Il se pencha et ramassa mon shorty qui avait atterri sous le bureau. Il me le remit avec une douceur et une lenteur calculée, tantôt en me frôlant, tantôt en me caressant. Mon désir se changea en flamme ardente. Sentant mon envie, il me dit : — ...
    ... Crois-moi, ce n’est pas l’envie qui me manque, mais il y a cours dans une demi-heure dans cette salle, je ne pourrais jamais aller assez vite tellement je veux te savourer… Et les collègues vont se demander où je suis passé, je devais les rejoindre devant la machine à café, mais une divine étudiante a retenu toute mon attention… dit-il en me faisant un clin d’œil. Mais ce n’est que partie remise, bien entendu… Sors en premier, le temps que j’ouvre les fenêtres. J’acquiesçai, mais j’étais incapable de savoir si mes jambes allaient me soutenir. Il a compris et m’a tout de suite aidée à descendre en rigolant. Me traitant de fragile douceur, il m’embrassa avec fougue et s’écarta pour calmer son désir avant de rejoindre ses collègues. J’en profitai pour m’éclipser vers la porte, en lissant ma robe. J’avais loupé une heure de cours, et le cours d’après était, bien sûr, encore le sien. J’avais hâte d’y être rien que d’y penser. Mais comment se comporter, maintenant que j’avais partagé son intimité ? Beaucoup de questions se bousculaient à présent dans ma tête. Je me suis retournée pour le regarder qui ouvrait les fenêtres afin d’aérer la pièce. Ça n’avait pas l’air de l’inquiéter. Avant de sortir, je ne pus m’empêcher de lui dire : — Merci pour tout, je n’ai jamais connu ça, c’était vraiment magique. Faire un seul être avec vous, voilà à quoi je passerais volontiers mes journées… Il se retourna dans ma direction, avec un sourire amusé : — Merci de me faire savoir que je suis un bon coup. Je ...