1. Une flèche en plein coeur


    Datte: 20/09/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, init, prememois, initfh,

    ... avoir remarqué à quel point elle était délicieuse à regarder, avec son teint de porcelaine, sa peau de perle douce et nacrée, ses grands yeux lumineux et ses longs cheveux dénoués. – Qu’est-ce que tu veux Marie ? demanda-t-il abruptement, cette fois tout à fait réveillé. Isabelle peut nous entendre parler. Elle nota le réveil subit, et une soudaine rougeur colora ses joues pâles. – Elle dort, Max, murmura-t-elle. Je voulais m’excuser… pour tout à l’heure. Je n’aurais pas dû te pousser à bout, comme je l’ai fait. Mais Maxime se tourna à nouveau vers le plafond. Presque malgré elle, Marie sentit ses yeux descendre sur le corps à moitié dénudé de Maxime. Les draps s’arrêtaient à la lisière de son ventre. Elle voyait ses bras bronzés, musculeux, sa poitrine large parsemée de fils d’or, la ligne souple de son ventre, et au milieu, planté comme un pépin, le nombril noir qui semblait lui cligner de l’œil. Lorsqu’elle releva les yeux, elle croisa le regard railleur de Maxime. Il avait remarqué l’étincelle de ses yeux. – Tu n’es pas prête pour ces jeux-là, Marie, dit-il brièvement. Va te coucher. – Ne dis pas n’importe quoi, dit-elle obstinément. J’en ai envie. Tu as déjà oublié ce qu’on a fait tout à l’heure ? — Non, et je le regrette, fit-il, sarcastique. Mais elle ne se démonta pas. D’un pas ferme, elle s’avança jusqu’au lit, et se glissa dans les draps. Maxime ne bougea pas, se contentant de la foudroyer du regard. – Je suis tout nu, là-dessous, grinça-t-il entre les dents. Tu ...
    ... ferais mieux de partir. Tu es trop jeune, je t’ai dit. Tu ne sais pas ce que tu fais. – Ce n’est pas vrai, Max, insista-t-elle doucement. Je suis majeure. Ça devrait te suffire. Ça me suffit bien, à moi. Mais Maxime se faisait brutal. – Arrête, tu vois bien la différence d’âge, non ? lança-t-il, exaspéré. Je dis et je fais beaucoup de conneries, Marie. – Je vois aussi que je te fais de l’effet, lança-t-elle avec culot, les yeux fixés quelque part entre les draps. Maxime baissa les yeux et constata de visu l’érection qu’il avait sentie arriver en observant Marie deux minutes plus tôt. Un sourire amusé éclaira son visage viril. – Là, tu m’as eu, dit-il platement. Je te trouve vachement dégourdie, toi qui n’as soi-disant aucune expérience ! Elle eut un sourire timide. — Qui t’a dit que je n’avais aucune expérience ? Lentement, elle vint se coller à lui, posant une main hésitante sur son torse nu, puis le caressant de plus en plus adroitement. Leurs yeux se croisèrent à nouveau. Elle vit la lutte dans les siens, son envie d’elle et le combat qu’il livrait contre cette envie. — Va t’en, Marie, pendant qu’il en est encore temps… dit-il, d’une voix très basse. Elle retint sa respiration, et le fixa avec détermination. Il la dévisagea, et comprit sa propre faiblesse. L’instant d’après, Maxime, dans un gémissement de vaincu, roula sur elle. Elle accueillit ce poids sur son corps avec bonheur, et l’embrassa à pleine bouche. Ce n’était pas la première fois qu’un garçon l’embrassait, mais ...
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