1. Une flèche en plein coeur


    Datte: 20/09/2019, Catégories: fh, hplusag, jeunes, jalousie, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, init, prememois, initfh,

    ... cette fois, Marie sentit de grands remous d’excitation et de plaisir remuer dans son ventre. Elle était heureuse du poids de la bouche de Max sur la sienne, de la texture douce de ses lèvres, du goût de sa langue sur sa propre langue. Elle ferma les yeux et se laissa aller. Comme à travers un brouillard, elle sentit les mains habiles de Maxime parcourir les formes de son corps à travers la chemise de nuit ; se glisser sous l’ourlet de ladite chemise, et caresser sa peau nue et tiède. Les mains de Maxime étaient chaudes. Marie sourit sous la bouche de son ami, frémissant de tout son être au contact de ses doigts sur ses seins. Maxime s’écarta pour la regarder, tandis que ses mains palpaient la rondeur des seins sous la chemise. Marie soutint son regard. Elle haletait un peu. Les yeux bleus de Max la transpercèrent. Ils rayonnaient étrangement. – Oh, Marie… chuchota-t-il doucement. Elle ne dit rien, mais ferma lentement les yeux. Les doigts caressants de Max descendirent alors plus bas, glissèrent sur son ventre, puis dans sa culotte de coton, où ils hésitèrent d’abord. Puis, poussés par une force qui les dépassait, ils suivirent la ligne bombée du clitoris de Marie, qui retint son souffle à ce toucher. Maxime la regarda droit dans les yeux, tandis que ses doigts poursuivaient leur exploration. Le jeune homme haletait, lui aussi. Il voulait être doux, mais avait du mal à contenir son impatience. Doucement, lentement, sa main visita le nid soyeux du sexe de Marie. Ses doigts ...
    ... caressèrent le clitoris avec circonspection, car il s’attendait à tout moment à une rebuffade de Marie. Mais elle ne disait rien, attentive. Une douceur moite commença à ramollir la chatte de la jeune fille, et Maxime ferma un instant les paupières, submergé de désir. Alors, ses doigts glissèrent de haut en bas contre le sexe bombé, de plus en plus vite. Marie gémit. La douceur se fit moiteur, qui se fit humidité. Son sexe commença à s’ouvrir sous la pression des doigts de Max. Sa fente mouillée attirait le majeur de Maxime, de plus en plus collant. Obéissant à cette impulsion instinctive, Maxime glissa son doigt dans l’espace accueillant, et l’enfonça doucement, puis plus vite, puis plus fort. Marie se tendait sous lui. Elle respirait vite. Son corps vibrait, remuait, traversé de plaisir intense. Elle soulevait les hanches, appelant inconsciemment une pénétration profonde qui ne venait pas. Maxime se retenait. Son membre gonflé battait sa cuisse musclée, en attente. Mais il se retenait. Il tentait tant bien que mal de garder le contrôle. Quand Marie commença à gémir sous la pression de son doigt, Maxime, avec précaution, enfonça son index, puis son pouce, dans cette fente qui s’ouvrait peu à peu à lui, tendre et humide. Marie cria. Elle avait du mal à respirer. Sans aucune intervention de Maxime, elle ouvrit soudain ses cuisses, inondée de plaisir. – Oui… oui… oui… scandait-elle sans s’en apercevoir. Maxime sentit sa volonté faiblir d’un cran. Obéissant aveuglément à l’appel de ...
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