De Julien à Julie (10)
Datte: 06/09/2017,
Catégories:
Transexuels
... Malheureusement, j’interromps ce moment, qui devient torride, pour assurer les exigences du service qui m’appelle.. Dès qu’il m’en est possible, je la rejoins. Et elle, s’enhardit, allant à me caresser le bras et même la cuisse. J’approche mes lèvres de son oreille, que je mordille, et lui demande : — Tu aimes — Ouiii ! — Tu mouilles ? — Ouiii ! Beaucoup ! — Ta culotte doit être trempée, va vite aux toilettes et enlève-la, je t’attends. Carole hésite, puis se décide. Elle se lève prestement et disparaît quelques minutes. A son retour, elle est gênée et rase les murs pour me rejoindre. Pour la rassurer, je lui tends les bras et elle accoure pour s’y réfugier. Je lui demande : — Tu veux bien me la donner ? (Sous entendu : la culotte qu’elle vient d’enlever) Elle me regarde, hésite et ouvre son sac à main pour me présenter l’étoffe, que je saisis pour la humer à plein nez. — Humm ! Comme ça sent bon ! Tu dois être délicieuse à manger ! J’y vais un peu trop directement, mais exprime mes sentiments sans ambages. C’est vrai que le parfum, si féminin, qui s’exhale de sa culotte m’émeut. J’ai réellement envie de goûter sa liqueur, de lui bouffer la chatte. Carole ne sait plus où se mettre, elle est à la fois, confuse de surprise et toute émoustillée de l’invitation masquée que je lui lance. J’ajoute : — Il faut que j’y retourne ! Au fait, tu as très bon goût pour tes dessous ! Cette culotte est splendide ! Tu me montreras ton soutien-gorge ? Elle acquiesce et s’apprête à ouvrir son ...
... chemisier, mais je l’arrête d’un signe de la main. Elle est si troublée, qu’elle en oublie où elle est. Je dépose une bise furtive sur ses lèvres et la quitte, encore toute ébahie de ce tourbillon de sentiments que je lui impose. Le temps passe, et Carole, bien que tombant de fatigue, s’applique à rester jusqu’à la fermeture du bar, que de mon coté, je tâche d’anticiper. Les derniers clients partis, Elle se tient debout, les cuisses légèrement en appui contre la table. Je m’approche en souriant et, elle attend troublée que je la rejoigne. Je remarque bien sa timidité ou son manque d’habitude pour entrer en relation avec une autre fille. Pourtant, c’est bien elle qui m’a approchée en premier, dans les couloirs de la fac. D’un doigt, j’effleure sa poitrine tendue, pour en faire le tour, et lui demande : — Tu ne devais pas me montrer quelque chose ? — Si, si ! Bien sûr Julie ! Ses doigts tremblent pour s’empresser d’enlever chaque bouton du chemisier et j’en profite pour taquiner ses mamelons du bout de l’ongle. Elle tremble sur ses talons, tant elle est sensible à ma caresse, en plus de l’excitation du moment. Il faut avouer que ce n’est pas banal de se soumettre aux desideratas d’une étudiante, dans un bar, après la fermeture. Je lui intime de quitter son chemisier, puis flatte le joli soutien-gorge, avant de le ôter, pour me consacrer surtout à son contenu, bien ferme sous mes doigts presseurs. Elle a les yeux fermés et me laisse la caresser. Sa peau est douce et je me penche ...