1. De Julien à Julie (10)


    Datte: 06/09/2017, Catégories: Transexuels

    ... pour poser mes lèvres sur son ventre. Ma langue taquine le nombril, remonte et lèche chaque téton dressé. Je l’enlace et l’embrasse, tout en me maintenant à une certaine distance, afin d’éviter à ma bandaison nouvelle d’entrer en contact avec son bas ventre. Elle est déchaînée lors de notre baiser. Sa passion est débordante, nos bouches se séparent pour que nous puissions reprendre notre respiration. Je plonge sur sa poitrine et lui mordille les tétons, tout en lui dégrafant la jupe, qui tombe au sol. Heureusement, ce ne sont pas des collants, mais des bas auto fixant, très mignons au demeurant ! Il faudra que je lui demande où elle les a achetés. Elle me laisse l’allonger sur la table et lui ouvrir les cuisses. Son pubis totalement épilé contraste avec le reste de sa personnalité. Elle attache de l’importance à sa chatte, plus qu’à son visage. Je m’assieds sur une chaise, face à sa vulve offerte, et plonge pour lui offrir un baiser d’un autre genre. Ma langue explore son intimité et son clitoris se révèle extrêmement sensible. Elle éprouve toutefois une certaine gêne quand je darde son anus. Elle a maintenant ses mollets sur mes épaules et se tortille dans tous les sens. Je caresse ses seins drus et pinçote ses tétons dressés, tout en enfouissant ma langue dans les profondeurs de son vagin. Je récupère une main et enfonce l’index et le majeur dans son antre. Tout en suçotant son clitoris, je force mon pouce contre son petit trou. Elle geint : — Non, pas ça ! Non, Julie je ...
    ... t’en prie ! Pas comme ça ! akabbjt Je ne tiens pas compte de sa molle protestation et force son petit trou. Elle se tortille en geignant. Par contre, quand j’ai fini de lui envahir l’anus, elle ne proteste plus, et poursuit même en ondulant du bassin, pour s’auto sodomiser sur mon pouce. La conjugaison de toutes ces caresses a tôt fait de l’emmener au septième ciel ! Ses cris d’orgasme sont si puissant qu’ils me percent les oreilles. Je ne souhaite pas qu’elle découvre combien je bande en ce moment, aussi je temporise et continue à lui donner des coups de langue précis, qui la font tressauter à chaque fois. Mon sexe fini par dégonfler et d’un geste furtif et discret, je le remets en place dans ma culotte. La fièvre redescend et, avant qu’elle ne se rhabille, je l’enlace pour l’embrasser à nouveau. Elle pose sa tête au creux de mon épaule et dit : — Jamais … Jamais … — Jamais quoi, Carole ? — Euh … Jamais je n’ai joui comme ça, c’est la première fois. C’est la première fois aussi que … dans mon derrière … Enfin … tu comprends ? C’est surtout aussi la première fois que je suis aimée par une femme et ça je ne le regrette pas du tout ! — Tu veux dire … Que tu n’es pas lesbienne ? Je le pensais ! — Non, c’est la première fois, je te l’assure Elle se met, ensuite, à raconter une tranche de sa vie, des études trop prenantes pour s’intéresser aux garçons, puis après, les mecs de rencontre qui ne pensaient qu’à la sauter, jusqu’au dernier qui l’a quittée pour rejoindre une autre femme, ...