1. Jours de grève (3)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Gay

    Jeff a rejoint Thierry, ils discutent tous les deux quelques minutes, puis je le vois revenir seul, trousseau de clés à la main. En arrivant il dit :- c’est bon mon ptit gars, on va pouvoir prendre une bonne douche — cool Il ouvre la porte des vestiaires, me demande d’entrer et de laisser entrouvert le temps qu’il ramène le trousseau à Thierry. Je remarque que c’est une porte qu’on peut ouvrir de l’intérieur sans clé. L’endroit est sombre et glauque, que du béton partout. J’avance vers le vestiaire commun, je connais l’endroit, nous y venons avec le lycée en cours de sport pour les sessions de rugby et l’athlé. J’entends la porte claquer : — c’est moi mon bonhomme — par ici, je suis dans le vestiaire principal Jeff me rejoint, m’enlace et m’embrasse. Et on commence à se déshabiller, on est quand même là pour une douche à la base. Une fois nus, il m’enlace à nouveau, il rebande instantanément et moi de même. Il s’écarte de côté et me mets une petite claque sur les fesses en disant : — allez petit fauve, à la douche Il se dirige vers les douches communes et je le suis. En s’approchant d’un robinet il dit : — j’espère que la vanne est pas coupée... Il tourne le robinet, c’est bon l’eau jaillit. Il laisse un peu couler et tend la main vers moi. Je lui prends la main, et là je ne m’y attendais pas il m’attire fortement à lui sous la douche. Le choc, elle est gelée! — wow putain quelle est froide... Il éclate de rire : — désolé c’était trop tentant Le choc du froid passé, j’essaie ...
    ... de lui toucher les flancs pour me venger. Il crie : — ah non pas ça je suis chatouilleux... — t’as commencé... Je suis rapide, réflexes de judo, et j’arrive à le chatouiller. Il avait pas menti, il est sensible. On se chahute quelques instants, il finit par reprendre le dessus mon rugbyman balaise, il m’attire à lui, me bloque entre ses bras et m’embrasse. L’eau coule sur nous, et je crois qu’il est encore plus mignon sous la douche. Je le caresse, dans le dos, ses fesses, ses cuisses, je remonte, son bide, ses seins, partout des poils mouillés. Lui fait de même : — hmm mon petit nounours poilu, qu’est-ce que c’est bon d’être avec toi là, on oublierai tout — oui c’est très agréable, j’adore te caresser — et j’adore ça aussi... Moi j’aime ces petites fesses de judoka aussi. Il insiste sur mes fesses, prend une fesse dans chaque main et malaxe. Il tâte mes cuisses, il sent mes muscles. C’est vrai que 7 ans de judo, surtout à l’adolescence, ça fait les muscles des cuisses, du cou et des épaules. Il passe un doigt entre mes fesses, ça me fait frissonner surtout quand il frôle mon anus, il remonte, il s’amuse avec les poils au creux de mes reins. Il desserre son étreinte, il se tourne pour fermer le robinet et prendre du savon au distributeur fixé au mur. Il fait mousser et en dépose sur mon corps. Je trouve ça excitant. Il recommence l’opération plusieurs fois sur moi puis sur lui jusqu’à ce qu’on soit bien couvert, et il rigole en me déposant la dernière dose sur le nez : — t’es ...
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