1. Jours de grève (3)


    Datte: 21/09/2019, Catégories: Gay

    ... Je creuse mon dos naturellement et je m’aperçois que c’est encore meilleur. Je gémis tellement c’est bon. — oui mon bébé, c’est bon, je suis bien en toi, tu aimes ça? — oui... hmmm... tu me fais tellement de bien... hmm, j’adore ça, continue... Il accélère et me pilonne carrément. Je tiens plus sur mes jambes, je finis par m’appuyer complètement sur le mur. Il pose ses mains sur mes hanches pour bien me maintenir et me pénétrer encore plus fortement. Des larmes de plaisir s’échappent de mes yeux. Ma respiration est cadencée par ses mouvements. Il accélère et puis se met à trembler, je sens son sexe se contracter, il jouit en moi dans un râle d’épuisement. 3, 4, 5, 6 jets. Il m’inonde littéralement. Je ne peux plus bouger. Lui non plus, il reste en moi quelques instants. — ouah bébé, tu m’as tellement excité, ça faisait longtemps que j’avais pas jouit aussi fort, t’étais si serré et humide Je ne peux sortir aucun mot tant je suis essoufflé et tant je plane. Je me rends compte que du sperme coule de ma bite alors que je ne bandais pas. Je reste le cul tendu, Jeff s’extrait lentement, il est encore bandé, il ne sort pas complètement et renfonce sa bite. Je gémis à nouveau. — je débande pas bébé, j’ai encore envie de te faire du bien... tu veux? Sans attendre ma réponse il reprend un peu de rythme et je sens son sexe dur coulisser encore plus facilement grâce au sperme. C’est divin. Il se retire : — viens, on va se mettre sur le banc, tu vas t’allonger sur le dos et je vais te ...
    ... pénétrer de face, j’ai envie de voir ton visage d’ange prendre du plaisir. Je m’exécute et m’allonge sur un banc. Jeff me tire un peu vers le bord et relève mes jambes. La position est inconfortable mais très vite je sens la queue de Jeff sur mon anus, il n’offre plus beaucoup de résistance, ça rentre comme dans du beurre, il avance sans retenue et un frisson m’envahit, la sensation est excitante. Mes tétons durcissent instantanément. Arrivé en butée, il commence un va et vient voluptueux en me regardant droit dans les yeux et avec passion. À chaque coup ses yeux semblent me demander "ça va bébé il est bon celui-là ?", "celui-là encore mieux ?"... Il prend plaisir à me faire gémir et haleter. Petit à petit il accélère, on ne se lâche plus des yeux, je me noie presque dans son regard. Je reprends un peu mes esprits et attrape ses tétons, je les titille et les pince. — bébé si tu fais ça je ne réponds plus de rien. Je continue mon traitement, sa réponse ne se fait pas attendre, il accélère le rythme et je l’encourage : — vas y Jeff... hmm... plus fort — bébé tu me rends dingue Après quelques instants à ce rythme, essoufflé, il calme un peu et ses coups deviennent plus vifs, plus incisifs. Je revois toute sa virilité s’exprimer, il me tient fermement, ses muscles ressortent à chaque coup, il est en sueur et moi aussi. Je prends ses tétons entre deux doigts comme une cigarette, je les tire vers moi et caresse les bouts avec le pouce. Son regard devient presque suppliant et je le ...