1. L'amour sur un pouf


    Datte: 06/09/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... appuis, jambes légèrement fléchies et la tenant par les mollets, Christian l'enfila d'une seule poussée bien rectiligne, et de toute sa longueur, suscitant un râle profond de la part de Martine qui releva la tête pour regarder son mari la fouiller. Il allait et venait lentement mais profondément, les yeux dans ceux de son épouse qui le considérait avec reconnaissance, comme s'il lui offrait un magnifique cadeau. - Oui, c'est ça, comme ça, bien à fond, continue, jusqu'aux couilles, encore, voilà, t'arrête pas, baise-moi bien... Martine était en grande forme sexuelle, constata Christian, et il allait devoir lui en donner pour son appétit. Justement, lui aussi se sentait en forme, long et dur, son sperme encore refoulé et bien décidé à exploiter toutes les vertus du pouf. Il retourna Martine et se mit à lui asséner en levrette de grands coups de bite d'autant plus virulents qu'il était solide sur ses bases et qu'elle relevait bien son cul. L'idée lui vint de la sodomiser, elle n'irait sûrement pas contre, mais c'était prématuré, il craignait trop d'éjaculer tant son cul l'inspirait. Alors, il s'assit sur le pouf et l'invita à s'empaler sur lui. C'était exactement ce que Martine souhaitait. Dos à lui, jambes fléchies, elle s'imposa le délicieux supplice du pal vaginal, allant et venant à sa guise, tordant ses hanches en tous sens, poussant parfois des cris gutturaux tant la bite allait profond. Il aimait voir son cul remuer, comme si elle dansait et l'entendre gémir. Puis il ...
    ... voulut voir son visage et lui demanda de le chevaucher. Pieds au sol, la tête posée sur le fauteuil voisin mais le cul bien arrimé au pouf, il la regarda s'empaler sur lui avec une lenteur calculée. La position debout de Martine lui permettait une pénétration particulière qu'elle ne tarda pas à savourer en se léchant les lèvres et en virevoltant de la croupe. - Ah c'est bon ! Ah c'est bon ! répétait-elle. Décollant les fesses du pouf, il lui renvoyait la balle en faisant attention à ne pas la désarçonner. Au comble du plaisir, elle s'effondra sur lui, toujours bien reliée à son sexe tendu et lui murmura à l'oreille : - Tu me sers comme un chef ! Ils restèrent ainsi quelques minutes unis, sans bouger, avant que Martine ne se dégage et prenne à son tour une initiative. Elle demanda à Christian de quitter le jardin, de replacer le pouf dans le salon, face à un miroir où elle avait l'habitude de vérifier sa mise, et déclara : - J'ai envie de me voir baiser là-dessus. Prends-moi en levrette et regarde-moi dans la glace. Christian s'exécuta. Regarder leur couple en train de forniquer n'était pas une première. Martine aimait se voir baiser. Il la prit par les hanches, la déposa sur sa bite et la percuta jusqu'à la garde. Martine fit "oh" et leurs regards se croisèrent. Il lut dans le sien un plaisir intense et une série de mots crus ne tardèrent pas à déferler dans sa bouche. Il y était essentiellement question de sa queue et de sa chatte, d'invitation pressante à ne pas s'en tenir là ...
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