1. Les pensées d'autrui


    Datte: 21/09/2019, Catégories: fh, couple, médical, Oral fantastiqu, h+medical,

    ... personne qu’hier soir. Sa figure est détendue et elle s’est légèrement maquillée. Ses cheveux auburn sont tirés en chignon et ses yeux pétillent. Je lui dis tout ça en lui prenant la main. C’est un arc-en-ciel de couleurs vives et joyeuses : — Je ne sais pas quoi vous dire ni comment vous remercier. Je suis tellement heureuse. « … j’ai envie de l’embrasser… » « … tout à l’heure, c’est venu naturellement mais maintenant j’ose plus… » Je me penche vers elle, pose la main sur sa nuque et l’attire vers moi. Elle ferme les yeux et me tend ses lèvres. La sensation est extraordinaire : mes lèvres embrassent et, dans mon cerveau, je me sens embrassé. Je ressens le baiser des deux côtés ! Ses lèvres s’ouvrent et sa langue vient me caresser les dents. Je réponds à sa caresse. Notre baiser devient profond, enflammé. J’ai rarement vécu un tel plaisir pour un simple baiser. Elle m’entoure de ses bras et se serre contre moi. Je/elle sent sa poitrine s’écraser contre la mienne, la pointe de ses seins qui durcit. C’est dans son esprit que je découvre cette sensation délicieuse car nous avons trop de tissus entre nous deux pour que je puisse le sentir directement. Je lui caresse le dos, lentement, savamment et nos lèvres se séparent. Je garde une main sur sa nuque pour ne pas perdre le contact mental. — Tu n’as pas peur que l’on nous surprenne ?— Oh non, je suis seule à l’étage à cette heure-ci.— Et si on t’appelait ?— J’ai laissé les portes ouvertes, on entend très bien et puis, j’ai mon bip ...
    ... dans ma poche… À cette heure il y a rarement des appels… C’est plus tard que ça arrive. Pendant ce temps son esprit faisait défiler les incidents possibles et se tranquillisait en n’en trouvant pas. Et, en toile de fond, il y avait déjà cette envie profonde, viscérale qui fait serrer les cuisses convulsivement et aussi l’excitation directe des bouts de seins dressés. Ses pensées explosent en surface, comme des bulles de champagne : « … comme c’est bon… » « … il y avait longtemps… » « … Mélanie, où est-ce que tu vas ? … » « … comme il est doux… » « … et mes seins, ils vont exploser ! … » Je me pousse tout au bord du lit et je la tire pour qu’elle s’allonge à côté de moi. Doucement, je déboutonne le haut de sa blouse. Elle est là, devant moi avec un joli soutien-gorge de dentelle blanche. Délicatement je pose ma main sur sa peau, au niveau du plexus ; en écho, je ressens la chaleur du contact. L’impression est sidérante : caresser et, en même temps, ressentir la caresse ! En réponse à son appel mental, ma main remonte doucement vers sa poitrine. De la paume de la main j’effleure la dentelle. Je tourne lentement autour d’un sein, glissant sur le bonnet en pressant légèrement. Je fais plusieurs fois le tour puis je monte vers le mamelon turgescent qui cherche à percer le fin tissu. Ce frottement sur la dentelle est délicieux à ma main, mais je sens une légère frustration chez elle. Un peu sadiquement et pour augmenter son désir, je glisse jusqu’à l’autre sein où je recommence la ...
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