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La baise à la marseillaise (1)
Datte: 22/09/2019, Catégories: Trash,
Être étudiante en classe préparatoire scientifique, ça n’a qu’un avantage : une promo remplie à 85% de mecs. Équations différentielles, espaces vectoriels et oscillations amorties… Ça avait beau occuper la presque totalité de mes journées, ça ne m’empêchait pas de vouloir autre chose. Une bonne baise brutale par exemple. La chatte en feu, je me tortillai sur ma chaise et me forçai à garder la tête froide. En plein Travaux Pratiques de physique, ça n’était vraiment pas le moment de commencer à mouiller ! Mais c’était vraiment difficile pour moi puisque le prof m’avait mise en binôme avec le gars le plus sexy de ma classe. J’avais remarqué Liam le jour de la rentrée parce qu’il avait le physique que me faisait le plus fantasmer au monde : plus grand que moi, brun aux yeux sombres, un corps de rugbyman massif mais pas trop, mais surtout la peau hâlée et légèrement bronzée des gens du sud de la France. Parce que Liam était Marseillais, un beau mâle des plages qui faisait ses études ici à Clermont-Ferrand. Oui, il était exactement le genre de Marseillais à faire bander dur comme fer même les gars les plus hétéros, de mon avis du moins. En tout cas, je le laisserai bien me défoncer quand il veut ! Du coup, j’attendais impatiemment toute la semaine le début d’après-midi du vendredi, là où on avait TP et où je pouvais mater en toute discrétion mais sans retenue le corps excitant comme un aphrodisiaque de mon partenaire. Je me mettais à mouiller comme une chienne en chaleur à ...
... chaque fois qu’il me frôlait ou que je trouvais le ton de sa voix particulièrement sexy. Pas moyen de se concentrer plus de cinq minutes ! Même lorsque le prof nous demandait de nous approcher pour nous expliquer des notions que nous ne comprenions pas, j’en profitais pour me coller à lui tout en feignant d’être très concentrée sur les explications de l’enseignant. J’étais même parfois si proche de lui que je sentais la chaleur de sa peau de sudiste à travers nos vêtements, et ça avait le don de me mettre dans des états d’excitation pas possibles ! Généralement, je me précipitais auxtoilettes juste après ce cours et le début du suivant, et laissais échapper mon plaisir avec le moins de bruit possible. Les orgasmes se succédaient avec une rapidité folle quand je pensais à lui en me doigtant. Je rentrais trois doigts et me triturais le clito tout en imaginant que c’était la grosse queue qui devrait être la sienne qui me labourait le vagin... J’étais justement en train de l’observer porter la lourde bobine dont on avait besoin pour ce cours. Mes yeux glissèrent sur ses bras aux muscles bandés par l’effort et je me rendis compte que j’avais commencé à faire passer mes doigts sur ma fente palpitante à travers mon pantalon, excitée comme jamais rien qu’à la vue de ce spectacle pourtant anodin. Mon Dieu ! Je retirai immédiatement la main de mon entre-jambe et jetai un coup d’œil rapide aux autres paillasses. J’espérai que mon Marseillais et les autres qui bossaient autour de nous ne ...