1. La baise à la marseillaise (1)


    Datte: 22/09/2019, Catégories: Trash,

    ... m’avaient pas vue... Pour eux j’étais juste une intello sympa mais timide, et c’était en partie vrai. Mais ils étaient loin d’imaginer à quel point je pouvais toujours être affamée de sexe ! J’adorais me faire bourriner comme la pire des salopes et ils n’en avaient même pas conscience. J’avais d’ailleurs un petit ami, qui ne me comblait déjà plus. Il avait une libido quasi-morte d’un vieux de quatre-vingt-cinq ans alors qu’il n’en avait que dix-neuf, et à chaque fois qu’on baisait, il mettait un temps fou à être prêt à l’action… pour un résultat finalement plus que décevant. Pourtant, j’étais plutôt bandante physiquement : blonde vénitienne, un corps élancé pour des formes avantageuses, avec mon cul rebondi et des seins plus gros et lourds que la moyenne. En fait, j’étais le type de filles à être plus belles nues qu’habillées. Je ne me mettais pas vraiment en valeur et portait toujours les vêtements amples que j’affectionnais. C’était peut-être pour ça que j’avais toujours le même petit copain que je n’aimais pas, et dont les besoins sexuels muselaient clairement les miens. D’ailleurs, ça faisait une semaine au moins qu’aucune bite ne m’avait pénétrée et j’en avais des fourmis dans le vagin, tant il voulait qu’on s’occupe de lui ! En plus, avec ma semaine de partiels, je n’avais pas eu une seconde pour me soulager. C’était la première fois depuis des siècles que je passais autant de temps sans prendre de plaisir et ainsi, calmer un tant soit peu les instincts sexuels qui ...
    ... me tiraillaient au quotidien. C’est sûrement pour cette raison qu’aujourd’hui, j’étais si déconcentrée que Liam et moi n’avions pas fini notre TP à la sonnerie. Même si les autres élèves avaient déjà quitté la salle, le prof insista pour que l’on prenne cinq minutes sur le cours prochain pour le finir tout de suite. C’eût pour effet de mettre le Marseillais au sang chaud en colère : —putain, Marina ! Tu sais que je suis nul en maths et on va arriver en retard à cause de toi ! Qu’est-ce qui t’arrives aujourd’hui, tu peux pas te concentrer cinq secondes ? — Désolée, j’ai l’esprit ailleurs… Sur ta belle bite que je devine sous ce jean Levis par exemple. — Bah, fais un effort. J’ai besoin de ce cours moi. Je m’obligeai à faire ce qu’il disait, parce que je n’avais vraiment aucune envie qu’il demande à changer de binôme au prochain TP. Un peu moins de dix minutes plus tard, nous rangions précipitamment nos affaires et quittons la salle au pas de course, moi derrière lui. En plus de se trouver dans un autre bâtiment, la salle du cours de maths était aussi au rez-de-chaussée, et nous étions au troisième étage. On se mit à courir dans les escaliers et Liam, plus sportif, disparut rapidement de mon champ de vision dans les étages inférieurs. Aussi, j’accélérai pour le rattraper. Mauvaise idée : je manquai une marche et dévalai en catastrophe celles restante jusqu’au prochain palier, dans un cri et un fracas épouvantable. — Marina, ça va ? je l’entendis appeler d’en bas d’une voix ...
«1234...7»